Description
Added on the 13/07/2018 10:37:01 - Copyright : AFPTV - First images
As US President Donald Trump heads to Orlando to launch his re-election campaign, protesters and the giant 'baby blimp' position themselves just a few blocks from the rally. IMAGES
The 'Trump baby' blimp takes to the air as thousands of anti-Trump protesters are due to rally in London's Whitehall government district, headed by Labour opposition leader Jeremy Corbyn. The demonstration will rally round a giant inflatable balloon mocking Trump by depicting him as an orange baby. IMAGES
The 'Trump baby' blimp takes to the air as thousands of anti-Trump protesters are due to rally in London's Whitehall government district, headed by Labour opposition leader Jeremy Corbyn. The demonstration will rally round a giant inflatable balloon mocking Trump by depicting him as an orange baby. IMAGES
'Trump baby' blimp is inflated in Parliament Square as thousands of anti-Trump protesters are due to rally in London's Whitehall government district, headed by Labour opposition leader Jeremy Corbyn. The demonstration will rally round a giant inflatable balloon mocking Trump by depicting him as an orange baby. IMAGES
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.