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Added on the 31/01/2013 19:23:33 - Copyright : France 24 FR
This week, discover a special France 24 report from the frontline in Mali where French forces are attempting to drive out Islamist fighters from their mountain. Also, how life for French expats in Africa has changed in the wake of those kidnappings? And what's next for Kenya's new president Uhuru Kenyatta who's still facing charges of crimes against humanity in the ICC?
On le sait, les bombardements entre Israël et l’Iran ont commencé le 13 juin dernier. Mais ce qu’on sait moins, c’est ce que la cyberguerre entre ces deux États dure depuis des décennies. Amine, journaliste cyberguerre chez Numerama explique le fonctionnement de la cyberguerre en temps de conflit au micro du talk-show politique Backseat.
Téhéran devra encore attendre sa bombe atomique. Le 13 juin, Israël a lancé une série de frappes sur plusieurs installations nucléaires en Iran. Le but : retarder le programme nucléaire iranien, proche de mettre au point la première bombe atomique du pays. Mais si la technologie date de la Seconde Guerre mondiale, pourquoi l’Iran n’a-t-il toujours pas réussi à l’acquérir ? Explications en vidéo. Sommaire 0:00 - Introduction 0:33 - L'uranium : le premier ingrédient 1:15 - Comment enrichir l'uranium 2:10 - Plan B : le plutonium 2:36 - La réaction en chaîne 3:28 - Une arme de plus en plus convoitée 4:18 - Tout ça... pour une arme jamais utilisée Nos article sur le nucléaire ► https://www.numerama.com/tag/nucleaire/ L’attaque hors-norme d’Israël depuis une base secrète en Iran avec des drones explosifs ► https://www.numerama.com/tech/1991677-lattaque-hors-norme-disrael-depuis-une-base-secrete-en-iran-avec-des-drones-explosifs.html Comment un espion néerlandais a déstabilisé le programme nucléaire iranien ► https://www.numerama.com/cyberguerre/1607234-comment-un-espion-neerlandais-a-destabilise-le-programme-nucleaire-iranien.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
L’un des aspects les plus impressionnants dans le monde de la tech, c’est la remontada de Huawei. Huawei, c’était le numéro un chinois du smartphone, et ils n’étaient pas loin de devenir numéro un en France… jusqu’à ce que Donald Trump leur inflige un coup dur : mise sur liste noire, interdiction aux États-Unis, rupture des partenariats avec Qualcomm et Google… Malgré tout, plusieurs années plus tard, Huawei est toujours là, avec un téléphone pliant ultra-fin et un appareil photo surpuissant. Leur prise en main est spectaculaire. Côté écosystème, ils gagnent en indépendance avec leurs propres applications, leur propre OS – certes dérivé d’Android, mais qui leur permet de se détacher progressivement. Ils développent même un écosystème complet d’appareils, incluant des voitures. Et le plus fou ? Aujourd’hui, Huawei fabrique des puces capables de rivaliser avec celles des Américains, alors que personne ne pensait la Chine capable d’y parvenir si vite. L’histoire de Huawei prouve que les États-Unis ont peut-être fait une erreur en tentant d’éliminer cette entreprise. Au lieu de disparaître, Huawei est devenu encore plus puissant. Au MWC de Barcelone, leur stand est le plus grand, ils sont présents dans tous les secteurs : éducation, santé, et bien sûr, smartphones. Leur comeback est indéniable : en Chine, ils sont redevenus numéro un des ventes.
Selon les agences de presse russe, l’autocrate syrien Bachar al-Assad serait arrivé en Russie après la chute de son régime. Plusieurs avions ont été localisés dans le ciel syrien, avec des trajets suspects, qui ont fait émerger de nombreuses théories. Où est Bachar al-Assad ? Selon les premières déclarations du côté russe, le dictateur syrien déchu après la chute de Damas, serait arrivé à Moscou, accompagné de sa famille. La Russie aurait offert l’asile au président déchu pour des « raisons humanitaires », à en croire la presse d’État. Toutefois, aucune image de ses premiers pas à Moscou n’a été diffusée. Une rumeur faisant état d’un crash d’avion a même émergé après un suivi aérien suspect. Tout part d’un avion cargo Ilyushin Il-76T de la Syrian Air, qui prend son envol le 7 décembre, à 03 h 59 heure locale, vers une destination non précisée. D’après les données de Flightradar24, un site spécialisé dans le suivi des avions, l’appareil a initialement pris la direction de la côte méditerranéenne, vers un bastion de la communauté alaouite à laquelle appartient la famille Assad. Deux centres militaires russes majeurs y sont situés : la base aérienne de Hmeimim et la base navale de Tartous. Cependant, après avoir survolé la ville de Homs au milieu du pays, l’avion a fait demi-tour et a commencé à voler de nouveau vers l’est tout en perdant de l’altitude. Le signal a été perdu aux alentours de 04h39, lorsque l’appareil se trouvait à environ 13 km à l’ouest de Homs, à une altitude de seulement 1 625 pieds (495 m). La basse altitude a laissé croire que l’avion pourrait avoir atterri, ou subi un crash. Les circonstances précises de la perte du signal restent floues, mais Flightradar24 a précisé que l’avion était un modèle ancien, équipé d’un transpondeur de génération plus ancienne, ce qui pourrait expliquer des données incorrectes ou manquantes. De plus, l’appareil volait dans une zone soumise à un brouillage GPS, ce qui pourrait également affecter la qualité des informations. Le traqueur n’a pas non plus relevé d’aéroport dans la zone où le signal a été perdu, et aucune information n’a été donnée sur un éventuel crash. Flightradar24 a aussi rapporté qu’un avion militaire russe avait décollé dimanche de l’aéroport international de Lattaquié, à proximité de Hmeimim, avant de se rendre à Moscou. À nouveau, l’identité des passagers à bord reste inconnue. Un autre vol a attiré la curiosité des experts en sources ouvertes. Un jet Embraer Legacy 600, parti d’Abou Dhabi le soir du 7 décembre pour Homs, avant de redécoller plusieurs heures plus tard et revenir à Abou Dhabi, où il s’est posé avant 9h. Rappelons que rien n’indique que ces avions transportaient l’autocrate syrien. Si ce dernier est à Moscou, il sera probablement préservé et caché par le régime russe.