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Added on the 10/12/2019 10:47:47 - Copyright : Vosges Matin
Que risquez-vous si vous insultez Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux, ou utilisez le #MacronOrdure ? « Macron Ordure » : que risque-t-on à insulter Emmanuel Macron sur Facebook ? https://www.numerama.com/politique/1322662-macron-ordure-que-risque-t-on-a-insulter-emmanuel-macron-sur-facebook.html Emmanuel Macron est une ordure ! C’est en tout ces ce qu’a affirmé Valérie sur son mur Facebook, avant d’être interpellée à son domicile par la police et emmenée en garde à vue. Elle est aujourd’hui poursuivie en justice, pour avoir écrit, je cite : “L’ordure va vous parler demain à 13h, pour les gens qui ne sont rien, c’est toujours à la télé que l’on trouve les ordures”. Mais alors, que risque t-on si on insulte le président sur ses réseaux ? Et bien, historiquement, il existait un “délit d’offense au chef de l’étât”, mais cette infraction pénale a été supprimée en 2013 parce qu’elle pouvait avoir un effet dissuasif sur la liberté d’expression. Il existe tout de même toujours des délits d’ordre général sur l’injure et l’outrage dont peut bénéficier le Président de la république, vu qu’il reste un justiciable. En temps normal, la contravention pour injure privée s’élève à 38€. Mais la publication d’un message sur les RS peut s’apparenter à une injure publique, qui, elle, est punie par une amende de 12 000 €. Il reste que cette décision semble particulièrement arbitraire, parmis les nombreux messages qui circulent sur les réseaux sociaux, “Ordure” n’est probablement pas l’outrage le plus virulent a avoir été proféré. Mais surtout, c’est déjà extrêmement contre-productif, puisque par effet Streisand, l’affaire est déjà relayée dans de nombreux médias et que de nombreux internautes choqués par l’affaire ont fait monter le #MacronOrdure en Tendances sur Twitter France, en signe de contestation.
FO, CGT, FSU, des Gilets Jaunes et membres de la France Insoumise rassemblés devant la préfecture de la Meuse.Discours de Yves Briaux (FO Meuse) et de Doris Warth (CGt Meuse).
En amont du congrès des syndicats de la FSU prévu du 9 au 13 décembre à Clermont-Ferrand, les représentants haut-rhinois, pour beaucoup élus de l’Education nationale, ont travaillé sur une série de propositions et d’amendements à apporter au projet national. Particularisme local oblige, ils ont notamment abordé la question du bilinguisme et de la langue régionale. Trois questions à Valérie Poyet, co-secrétaire départementale de la FSU dans le Haut-Rhin.
Autour de 400 enseignants, parents et enfants se sont rassemblés aujourd’hui, en fin d’après-midi, devant le conseil général du Haut-Rhin à Colmar. ls ont manifesté contre la suppression de 108 emplois programmés par l’inspection d’académie pour 248 élèves en moins. De façon concrète, les principales mesures annoncées pour la rentrée 2012 sont : 102 fermetures de classes, 51 ouvertures, destruction de 55 postes de Rased (réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté) sur 145 soit près de 40% des postes fermés. Cette manifestation conclut une grande journée de mobilisation dans tout le département : grève, tractage, blocus.