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Added on the 01/04/2014 15:10:45 - Copyright : Le Républicain Lorrain
Images : Jean-Emmanuel Lages Mars 2014 - www.republicain-lorrain.fr Le Républicain Lorrain sur Facebook : www.facebook.com/republicainlorrain Le Républicain Lorrain sur Twitter : https://twitter.com/lerepu
L’homme dont l’ombre plane au-dessus de l’affaire de Montigny-lès-Metz a laissé encore une drôle d’impression après son audition. Henri Leclaire, qui avait avoué le meurtre avant de se rétracter en décembre 1986, n’a même pas été capable, ce matin, de reconnaître qu’il était passé rue Venizélos le 28 septembre 1986, ni même que deux enfants étaient mort ce jour-là sur le talus SNCF. La réaction de Liliane Glock, avocate de Francis Heaulme, et Dominique Boh-Petit, avocate de Chantal Beining qui avait demandé le renvoi de cet individu devant les assises. Reportage : Kevin GRETHEN
L’homme dont l’ombre plane au-dessus de l’affaire de Montigny-lès-Metz a laissé encore une drôle d’impression après son audition. Henri Leclaire, qui avait avoué le meurtre avant de se rétracter en décembre 1986, n’a même pas été capable, ce matin, de reconnaître qu’il était passé rue Venizélos le 28 septembre 1986, ni même que deux enfants étaient mort ce jour-là sur le talus SNCF. La réaction de Liliane Glock, avocate de Francis Heaulme, et Dominique Boh-Petit, avocate de Chantal Beining qui avait demandé le renvoi de cet individu devant les assises. Reportage : Kevin GRETHEN
Il a obtenu un non-lieu début 2017 après avoir avoué les faits à la police judiciaire dès 1986. Trente ans plus tard, l'ombre de Henri Leclaire plane encore, comme celle de Patrick Dils malgré son acquittement en 2002, sur le double meurtre de Montigny-lès-Metz. Mercredi, le vieux monsieur, assis sur une chaise à la barre, a vacillé face aux questions des parties civiles et s'est embourbé dans ses dénégations avant de finir par reconnaître qu'il était bien là, à proximité des lieux du crime ce 28 septembre 1986. Aujourd'hui, la clerc de notaire dont le témoignage avait fait exploser le procès de 2014 a à nouveau répété à la cour qu'il s'était mis en transe chez elle, évoquant la façon dont il avait coursé puis secoué les gamins qui fouillaient dans les bennes de l'imprimerie. Images et reportage: Alain MORVAN.