Description
Added on the 16/12/2023 18:53:17 - Copyright : AFPTV - First images
Images of the area near Chalabre, in southern France, where a UK teenager was found on Wednesday after disappearing in Spain six years ago when he was 11. Alex Batty, originally from the northern English city of Oldham, was picked up by a driver in a mountainous area. IMAGES
Connemara Un film de - Een film van Alex Lutz -- Share : http://www.facebook.com/cineartbelgium Watch : http://www.youtube.com/CineartBE Like : http://www.instagram.com/cineart_belgium Enjoy : https://www.tiktok.com/@cineartbe Follow : https://letterboxd.com/cineart_film/
Impossible d’être passé à côté : l’influenceur Aqababe, après une traque de plusieurs jours, affirme avoir retrouvé la trace de Xavier Dupont de Ligonnès, l’homme le plus recherché de France. Grâce à ses centaines de milliers d’abonnés (ses « chipies »), Aqababe affirme sans la moindre nuance avoir des preuves de vie du fugitif. Cet exploit est-il possible ? En réalité, il s’appuie sur une communication extrêmement bien rodée basée sur une seule chose : l’envie des internautes de le voir réussir. Sans vérifier aucune preuve, en affirmant l’impossible et en dénonçant un possible complot, Aqababe se rend crédible. Itinéraire d’une fake news qui ne risque pas de faire avancer les recherches...
Inoubliable interprète de Liliane, aux côtés de Catherine, Bruno Sanches est un habitué du petit écran. Alors qu'il est actuellement à l'affiche de trois séries différentes (la saison 5 de HPI sur TF1, l'adaptation française de Ghosts sur Disney+ et Clean sur M6), le comédien a accepté de revenir avec nous sur le succès intemporel de Catherine et Liliane ainsi que sur son rapport paradoxal aux réseaux sociaux dans ce quatrième épisode de Cybercafé. Sommaire 00:00 - Le retour de Catherine et Liliane sur TikTok et Instagram 01:24 - Réseaux sociaux = peur et plaisir selon Bruno Sanches 02:43 - Le rapport pudique de Bruno Sanches aux réseaux 03:29 - Les réseaux sociaux font bugger Bruno Sanches Nos articles par ici ► https://www.numerama.com/pop-culture/1949465-bruno-sanches-avec-catherine-et-liliane-on-se-faisait-demonter-sur-facebook.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
À l'occasion de Séries mania à Lille, Bruno Sanches nous a parlé de sa nouvelle série Ghosts. Il est aussi revenu sur Catherine et Liliane, l'émission culte qu'il a animé pour le Petit Journal avec Alex Lutz.
On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.