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Ukraine 'realistic' about not joining NATO during war: Zelensky

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During a joint press conference with Dutch and Belgian Prime Ministers Mark Rutte and Alexander De Croo in The Hague, Ukrainian President Volodymyr Zelensky says Ukraine is "realistic" that it would not be able to join NATO while still fighting Russia. "But we want to get a very clear message that we will be in NATO after the war," he adds. SOUNDBITE

Added on the 04/05/2023 14:25:19 - Copyright : AFPTV - First images

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  • Sweden joining NATO shows Putin 'failed' in Ukraine war aims: Stoltenberg

    Sweden joining NATO shows Russian President Vladimir Putin "failed" in his Ukrainian war strategy of weakening the alliance, its chief Jens Stoltenberg says. The Kremlin's invasion not only prompted formerly non-aligned nations Sweden and Finland to come under NATO's defence umbrella, but now "Ukraine is closer to NATO membership than ever before," Stoltenberg adds. SOUNDBITE

    11/03/2024 - AFPTV - First images
  • Un drone ukrainien frappe et détruit un navire russe en mer Noire #shorts

    C’est une preuve supplémentaire de la capacité ukrainienne à porter des coups notables à la Russie en mer Noire, malgré sa supériorité maritime. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, les forces spéciales du service de renseignement militaire de l’Ukraine (GUR) sont parvenues à frapper un navire russe avec un drone aérien. Point notable de l’attaque : elle s’est déroulée à proximité du territoire russe, dans la baie face au port de Novorossiisk, où Moscou a replié une partie de sa flotte, afin de l’éloigner des côtes ukrainiennes, et donc des frappes de missiles ou de drones. C’est cependant une installation toujours à portée de Kiev : des attaques y ont été menées par le passé. Selon le compte-rendu de Kiev, ce bateau « effectuait des reconnaissances radioélectriques et patrouillait » aux abords de Novorossiisk. Le navire est de la classe Spassatel Karev (MPSV07), dont la mise en service remonte à 2015 — c’est aujourd’hui le dernier-né de sa classe. Trois autres navires de cette catégorie existent, lancés en 2012 et 2013. Le Spassatel Demidov — c’est son nom — est « équipé de machines permettant d’explorer les fonds marins et les objets endommagés gisant à des profondeurs pouvant atteindre 1 000 mètres » et « peut effectuer des opérations de plongée sous-marine jusqu’à une profondeur de 300 mètres », selon Ship Technology. C’est un navire polyvalent, relève l’armée ukrainienne, ce que confirme Ship Technology : armé par une vingtaine de marins, il sert au dépannage et au sauvetage, et dispose de capacités de brise-glace. Il n’est en revanche pas destiné au combat directement — on ne trouve ainsi aucune arme spécifique sur le bateau. Il contribue toutefois à la logistique russe. L’attaque a donné lieu à une vidéo dans laquelle on voit le drone foncer vers le navire, avec une caméra en vue subjective en vision nocturne. Il heurte le haut du Spassatel Demidov, un peu au-dessus de la passerelle. La vidéo se coupe à l’impact, ce qui n’empêche pas de constater les dégâts. Kiev reconnaît que ce vaisseau de classe MPSV07 n’a pas coulé — il aurait plutôt fallu viser la coque à hauteur de la surface de la mer, ou en-dessous, pour provoquer une voie d’eau. Cependant, Kiev estime que cela imposera à la Russie des « réparations coûteuses ». Par ailleurs, cela sort du jeu ce bateau, car « hors service ». La frappe a heurté une zone où l’on trouve des équipements de navigation, de renseignement électromagnétique et de communication. Cela illustre de nouveau les effets que peuvent produire des équipements offensifs à bas coût comme un drone face à des cibles de valeur : le navire ciblé a un coût estimé à 60 millions de dollars. Si l’Ukraine met régulièrement en scène ses succès en matière de bataille navale en mer Noire — comme, fin août, son opération réussie contre une corvette de classe Bouïan (Projet 21631), également endommagé après une frappe de drone aérien, en mer d’Azov –, elle enregistre aussi parfois des revers en mer. Ainsi, toujours à la fin du mois d’août, il a été noté qu’un drone de surface russe est parvenu à couler le navire collecteur de renseignement ukrainien Simferopol, alors qu’il se trouvait à l’embouchure du Danube, pas loin de la Roumanie. Signe que, malgré les réussites ukrainiennes, Kiev demeure aussi exposée en mer Noire, y compris près de son territoire.

    12/09/2025 - Numerama
  • Des drones RUSSES en POLOGNE #shorts

    C’est une brusque montée des tensions, qui pourrait aggraver un peu plus les relations déjà dégradées entre la Russie et les pays membres de l’OTAN. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, un incident aérien important s’est produit aux marches orientales de la Pologne : plusieurs drones russes ont franchi la frontière, violant son espace aérien. C’est le commandement opérationnel des forces armées polonaises qui a tiré l’alarme en premier sur les réseaux sociaux. Peu après minuit, il a été annoncé dans un premier temps le déploiement d’avions polonais et alliés pour sécuriser le ciel et la mise en alerte des systèmes terrestres de défense aérienne et de suivi radar. Une attaque massive contre l’Ukraine En effet, Moscou lançait cette nuit une énième attaque nocturne contre Kiev. Selon le décompte de l’armée de l’air ukrainienne, il a été détecté 458 drones de combat (dont plus de 215 de type Shahed, un aéronef sans pilote fourni par l’Iran), 42 missiles dont des Kalibr ainsi qu’un missile balistique Iskander, pouvant accueillir potentiellement une charge nucléaire. Côté ukrainien, la défense aérienne a été une nouvelle fois engagée et, selon le bilan donné sur Telegram, au moins 413 cibles ont été détruites (386 drones, 27 missiles) sur les 458 projectiles détectés. Mais 16 missiles et 21 drones sont passés et ont frappé l’Ukraine en dix-sept endroits. Et les 8 autres ? Ils sont passés en Pologne. Ainsi, selon l’armée de l’air ukrainienne, « au moins huit drones ennemis ont franchi la frontière ukrainienne en direction de la Pologne ». Une traversée de la frontière confirmée dans la nuit par les autorités militaires et politiques polonaises, à travers les prises de parole du commandement opérationnel des forces armées et du Premier ministre Donald Tusk. « L’espace aérien polonais a été violé de manière sans précédent par des drones. Il s’agit d’un acte d’agression qui représente une menace réelle pour la sécurité de nos citoyens », a écrit le commandement. « Sur ordre du commandant opérationnel des forces armées, des procédures défensives ont été immédiatement lancées. » Cette violation de l’espace aérien polonais par de multiples drones russes n’est cependant pas restée sans réponse. L’ordre a été donné pour abattre les huit drones. « Une opération liée à de multiples violations de l’espace aérien polonais est en cours. L’armée a utilisé des armes contre les cibles », a annoncé Donald Tusk. Une opération qui, selon l’armée polonaise, ont aussi mobilisé au moins un pays allié, les Pays-Bas, avec l’engagement d’avions F-35. En effet, dans le cadre du renforcement du flanc est de l’OTAN, organisation dont ces deux pays sont membres, des renforts militaires ont été déployés en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. Concernant les Pays-Bas, 300 soldats ont été envoyés cet été en Pologne, deux batteries de défense aérienne Patriot et des avions de chasse F-35. On trouve aussi également un gros contingent américain (10 000 hommes) et des forces norvégiennes, avec là aussi des chasseurs F-35. D’autres pays y participent aussi, occasionnellement, comme la France. L’implication de F-35 dans la défense aérienne polonaise a été repérée sur le site de suivi aérien FlightRadar24, a relevé le site OSINTtechnical. Il a été aussi aperçu au moins un avion ravitailleur A330 MRTT, qui a tourné dans le ciel afin de permettre, si besoin, aux autres aéronefs de refaire le plein de carburant et de rester en l’air. Les officiels de l’OTAN ont confirmé la participation des moyens de défense aérienne de l’organisation. Le gouvernement néerlandais a aussi confirmé la mobilisation de F-35 pour soutenir la Pologne, tout en dénonçant la Russie. C’est une preuve supplémentaire que la Russie « constitue une menace pour la sécurité européenne », a réagi le Premier ministre Schoof. En raison de la présence de la Pologne au sein de l’OTAN, un « contact permanent » a été établi avec le secrétaire général de l’organisation militaire, le Néerlandais Mark Rutte. Mais, dans le message du Premier ministre Donald Tusk, il n’a pas été question d’une activation de l’article 5 du traité, qui prévoit un soutien de tous les membres. En revanche, l’article 4 a été officiellement invoqué. Celui-ci expose que « les parties se consulteront chaque fois que, de l’avis de l’une d’elles, l’intégrité territoriale, l’indépendance politique ou la sécurité de l’une des parties sera menacée ». Cela pourrait déboucher sur des décisions, dont un appui supplémentaire sur place. L’incident survenu cette nuit apparaît comme un argument supplémentaire en faveur de Skyshield. L’idée ? Étendre la couverture aérienne de l’OTAN à une large partie de l’Ukraine, au moins tout l’ouest, jusqu’à Kiev, et peut-être le long du Dniepr, et le sud. Ainsi, les projectiles menaçants pourraient être interceptés bien plus tôt.

    10/09/2025 - Numerama
  • La Russie utilise un missile spécial sur l'Ukraine #shorts

    La guerre en Ukraine vient sans doute d’être le théâtre d’une nouvelle arme : le missile balistique intercontinental (ICBM). Cet armement, pensé avant tout pour transporter des charges nucléaires, peut aussi servir à envoyer des explosifs conventionnels. La Russie est accusée d’avoir eu une telle utilisation à Dnipro. C’est une attaque qui constitue un tournant dans la guerre entre la Russie et l’Ukraine. À l’occasion d’une frappe visant la ville ukrainienne de Dnipro, située à environ 350 km au sud-est de Kiev, il a été rapporté l’utilisation, pour la toute première fois durant le conflit, d’un missile balistique intercontinental (ICBM, intercontinental ballistic missile, en anglais). Sollicité sur ce point, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a éludé. Il a expliqué que les questions sur les affirmations de Kiev à propos de l’emploi présumé par la Russie de missiles balistiques intercontinentaux en Ukraine doivent être adressées au ministère de la Défense, selon le résumé donné par l’agence Tass, financée par Moscou. Il a toutefois ajouté que l’administration américaine sortante continue de jeter de l’huile sur le feu du conflit ukrainien, empêchant sa conclusion. Ces derniers jours, la Maison-Blanche a pris des dispositions pour accélérer les transferts de matériels militaires à l’Ukraine, et les dépenses de fonds liés, avant le retour de Donald Trump au pouvoir. En particulier, il a été noté le feu vert accordé à Kiev par Washington pour utiliser des MGM-140 ATACMS sur le territoire russe. Ces armements sont déjà employés depuis l’automne 2023 pour frapper des zones de son pays occupées par l’armée russe. Il s’agit de missiles balistiques tactiques dont la portée peut atteindre 300 km. Autre évolution notable : la fourniture de mines antipersonnel d’un genre un peu particulier. Ces dispositifs sont équipés d’un module d’autodestruction (ou d’auto-désactivation). On parle en particulier de munitions d’artillerie à déni de zone (ADAM, pour area denial artillery munition). Certains modèles ont une durée de vie de 4 ou 48 heures, selon les besoins. Sur les réseaux sociaux, des vidéos affirmant montrer la frappe de Dnipro ont commencé à circuler (notamment ce clip et cette autre scène, relayés par le compte Clash Report). Il y a aussi eu le partage par le compte Visegrád 24 d’une séquence de meilleure qualité montrant des salves de missiles qui s’abattent verticalement, par vagues successives. « C’est la première fois dans l’histoire de l’humanité qu’un ICBM est utilisé dans une guerre », a souligné Visegrád 24. « C’est une première », a abondé Clash Report. Si la nature du missile balistique intercontinental n’était pas certaine au départ, la piste qui se démarque actuellement est celle d’un ICBM de type RS-26 Rubezh. « Lors de l’attaque matinale sur Dnipro le 21 novembre, les occupants russes ont frappé pour la première fois avec un missile balistique intercontinental Rubezh, qui est un porteur potentiel d’ogives nucléaires », écrit le compte MAKS 24. Cette particularité ne signifie pas pour autant que cette frappe particulière incluait des armes nucléaires. Il est effectivement possible d’adapter un ICBM pour effectuer une frappe conventionnelle, avec une charge explosive « classique ». Preuve en est : on ne distingue aucun flash lumineux typique d’une frappe nucléaire ni aucun champignon atomique à l’image. Les dégâts seraient en outre incommensurables. Et par ailleurs, ce n’est pas le branle-bas de combat général dans les états-majors occidentaux.

    22/11/2024 - Numerama
  • L’armée russe utilise des trottinettes électriques ?? #shorts

    Des images prises sur le front montrent l’utilisation de trottinettes électriques par l’armée russe. La surabondance de drones, de mines et d’engins explosifs sur le front oblige les militaires à chercher des alternatives pour avancer. L’invasion de l’Ukraine par la Russie réserve encore de nombreuses surprises tant chaque camp cherche à innover. Plusieurs images du front ont été postées, montrant des soldats russes au guidon de trottinettes électriques utilisées dans le civil. Courant mai d’abord, deux militaires russes ont remercié sur Telegram des donateurs pour deux modèles qui leur ont été remis. Puis le 2 juillet dernier, une unité des forces d’assauts ukrainien a publié une vidéo de soldats russes ciblés par un tir d’artillerie. L’un des militaires russe s’enfuit de la zone touchée à bord d’une trottinette électrique, vraisemblablement le même modèle.

    12/07/2024 - Numerama

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DemainEntreprendre - épisode 12

29/04/2021 12:55:32