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Zelensky says 'some' Arab leaders turn 'blind eye' to Russian invasion

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Ukrainian President Volodymyr Zelensky accuses some Arab leaders of ignoring the horrors of Russia's invasion of his country during a speech at an Arab League summit in Jeddah. SOUNDBITE

Added on the 19/05/2023 14:31:32 - Copyright : AFPTV - First images

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  • Un drone ukrainien frappe et détruit un navire russe en mer Noire #shorts

    C’est une preuve supplémentaire de la capacité ukrainienne à porter des coups notables à la Russie en mer Noire, malgré sa supériorité maritime. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, les forces spéciales du service de renseignement militaire de l’Ukraine (GUR) sont parvenues à frapper un navire russe avec un drone aérien. Point notable de l’attaque : elle s’est déroulée à proximité du territoire russe, dans la baie face au port de Novorossiisk, où Moscou a replié une partie de sa flotte, afin de l’éloigner des côtes ukrainiennes, et donc des frappes de missiles ou de drones. C’est cependant une installation toujours à portée de Kiev : des attaques y ont été menées par le passé. Selon le compte-rendu de Kiev, ce bateau « effectuait des reconnaissances radioélectriques et patrouillait » aux abords de Novorossiisk. Le navire est de la classe Spassatel Karev (MPSV07), dont la mise en service remonte à 2015 — c’est aujourd’hui le dernier-né de sa classe. Trois autres navires de cette catégorie existent, lancés en 2012 et 2013. Le Spassatel Demidov — c’est son nom — est « équipé de machines permettant d’explorer les fonds marins et les objets endommagés gisant à des profondeurs pouvant atteindre 1 000 mètres » et « peut effectuer des opérations de plongée sous-marine jusqu’à une profondeur de 300 mètres », selon Ship Technology. C’est un navire polyvalent, relève l’armée ukrainienne, ce que confirme Ship Technology : armé par une vingtaine de marins, il sert au dépannage et au sauvetage, et dispose de capacités de brise-glace. Il n’est en revanche pas destiné au combat directement — on ne trouve ainsi aucune arme spécifique sur le bateau. Il contribue toutefois à la logistique russe. L’attaque a donné lieu à une vidéo dans laquelle on voit le drone foncer vers le navire, avec une caméra en vue subjective en vision nocturne. Il heurte le haut du Spassatel Demidov, un peu au-dessus de la passerelle. La vidéo se coupe à l’impact, ce qui n’empêche pas de constater les dégâts. Kiev reconnaît que ce vaisseau de classe MPSV07 n’a pas coulé — il aurait plutôt fallu viser la coque à hauteur de la surface de la mer, ou en-dessous, pour provoquer une voie d’eau. Cependant, Kiev estime que cela imposera à la Russie des « réparations coûteuses ». Par ailleurs, cela sort du jeu ce bateau, car « hors service ». La frappe a heurté une zone où l’on trouve des équipements de navigation, de renseignement électromagnétique et de communication. Cela illustre de nouveau les effets que peuvent produire des équipements offensifs à bas coût comme un drone face à des cibles de valeur : le navire ciblé a un coût estimé à 60 millions de dollars. Si l’Ukraine met régulièrement en scène ses succès en matière de bataille navale en mer Noire — comme, fin août, son opération réussie contre une corvette de classe Bouïan (Projet 21631), également endommagé après une frappe de drone aérien, en mer d’Azov –, elle enregistre aussi parfois des revers en mer. Ainsi, toujours à la fin du mois d’août, il a été noté qu’un drone de surface russe est parvenu à couler le navire collecteur de renseignement ukrainien Simferopol, alors qu’il se trouvait à l’embouchure du Danube, pas loin de la Roumanie. Signe que, malgré les réussites ukrainiennes, Kiev demeure aussi exposée en mer Noire, y compris près de son territoire.

    12/09/2025 - Numerama
  • Des drones RUSSES en POLOGNE #shorts

    C’est une brusque montée des tensions, qui pourrait aggraver un peu plus les relations déjà dégradées entre la Russie et les pays membres de l’OTAN. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, un incident aérien important s’est produit aux marches orientales de la Pologne : plusieurs drones russes ont franchi la frontière, violant son espace aérien. C’est le commandement opérationnel des forces armées polonaises qui a tiré l’alarme en premier sur les réseaux sociaux. Peu après minuit, il a été annoncé dans un premier temps le déploiement d’avions polonais et alliés pour sécuriser le ciel et la mise en alerte des systèmes terrestres de défense aérienne et de suivi radar. Une attaque massive contre l’Ukraine En effet, Moscou lançait cette nuit une énième attaque nocturne contre Kiev. Selon le décompte de l’armée de l’air ukrainienne, il a été détecté 458 drones de combat (dont plus de 215 de type Shahed, un aéronef sans pilote fourni par l’Iran), 42 missiles dont des Kalibr ainsi qu’un missile balistique Iskander, pouvant accueillir potentiellement une charge nucléaire. Côté ukrainien, la défense aérienne a été une nouvelle fois engagée et, selon le bilan donné sur Telegram, au moins 413 cibles ont été détruites (386 drones, 27 missiles) sur les 458 projectiles détectés. Mais 16 missiles et 21 drones sont passés et ont frappé l’Ukraine en dix-sept endroits. Et les 8 autres ? Ils sont passés en Pologne. Ainsi, selon l’armée de l’air ukrainienne, « au moins huit drones ennemis ont franchi la frontière ukrainienne en direction de la Pologne ». Une traversée de la frontière confirmée dans la nuit par les autorités militaires et politiques polonaises, à travers les prises de parole du commandement opérationnel des forces armées et du Premier ministre Donald Tusk. « L’espace aérien polonais a été violé de manière sans précédent par des drones. Il s’agit d’un acte d’agression qui représente une menace réelle pour la sécurité de nos citoyens », a écrit le commandement. « Sur ordre du commandant opérationnel des forces armées, des procédures défensives ont été immédiatement lancées. » Cette violation de l’espace aérien polonais par de multiples drones russes n’est cependant pas restée sans réponse. L’ordre a été donné pour abattre les huit drones. « Une opération liée à de multiples violations de l’espace aérien polonais est en cours. L’armée a utilisé des armes contre les cibles », a annoncé Donald Tusk. Une opération qui, selon l’armée polonaise, ont aussi mobilisé au moins un pays allié, les Pays-Bas, avec l’engagement d’avions F-35. En effet, dans le cadre du renforcement du flanc est de l’OTAN, organisation dont ces deux pays sont membres, des renforts militaires ont été déployés en Pologne, en Roumanie et dans les pays baltes. Concernant les Pays-Bas, 300 soldats ont été envoyés cet été en Pologne, deux batteries de défense aérienne Patriot et des avions de chasse F-35. On trouve aussi également un gros contingent américain (10 000 hommes) et des forces norvégiennes, avec là aussi des chasseurs F-35. D’autres pays y participent aussi, occasionnellement, comme la France. L’implication de F-35 dans la défense aérienne polonaise a été repérée sur le site de suivi aérien FlightRadar24, a relevé le site OSINTtechnical. Il a été aussi aperçu au moins un avion ravitailleur A330 MRTT, qui a tourné dans le ciel afin de permettre, si besoin, aux autres aéronefs de refaire le plein de carburant et de rester en l’air. Les officiels de l’OTAN ont confirmé la participation des moyens de défense aérienne de l’organisation. Le gouvernement néerlandais a aussi confirmé la mobilisation de F-35 pour soutenir la Pologne, tout en dénonçant la Russie. C’est une preuve supplémentaire que la Russie « constitue une menace pour la sécurité européenne », a réagi le Premier ministre Schoof. En raison de la présence de la Pologne au sein de l’OTAN, un « contact permanent » a été établi avec le secrétaire général de l’organisation militaire, le Néerlandais Mark Rutte. Mais, dans le message du Premier ministre Donald Tusk, il n’a pas été question d’une activation de l’article 5 du traité, qui prévoit un soutien de tous les membres. En revanche, l’article 4 a été officiellement invoqué. Celui-ci expose que « les parties se consulteront chaque fois que, de l’avis de l’une d’elles, l’intégrité territoriale, l’indépendance politique ou la sécurité de l’une des parties sera menacée ». Cela pourrait déboucher sur des décisions, dont un appui supplémentaire sur place. L’incident survenu cette nuit apparaît comme un argument supplémentaire en faveur de Skyshield. L’idée ? Étendre la couverture aérienne de l’OTAN à une large partie de l’Ukraine, au moins tout l’ouest, jusqu’à Kiev, et peut-être le long du Dniepr, et le sud. Ainsi, les projectiles menaçants pourraient être interceptés bien plus tôt.

    10/09/2025 - Numerama
  • Ces DRONES sont plus puissants qu'ils en ont l'air #shorts

    On entre dans la troisième année de la guerre en Ukraine, et s’il y a bien un drone de moyenne envergure qui a marqué ce conflit, c’est le Shahed-136. Et sa version russe, le Geran-2, puisque la Russie a tout simplement racheté la technologie iranienne pour en produire elle-même. C’est un drone assez imposant, 2,5 mètres d’envergure, chargé avec 40 à 50 kilos d’explosifs, conçu pour une seule mission : s’écraser sur sa cible. On l’a surtout vu au-dessus des villes ukrainiennes, car il est principalement utilisé pour des missions de démoralisation : c'est-à-dire, frapper la population civile et les infrastructures énergétiques, notamment en hiver, pour priver une ville d’électricité ou de chauffage. Un Shahed, en soi, ce n’est pas un drone discret. Il est relativement bruyant, il vole lentement, et il est souvent détecté avant d’atteindre sa cible. Le problème, c’est que la Russie ne les envoie jamais seuls. Généralement, c’est par vagues, des dizaines en une nuit, dispersés sur différents points d’une ville, en saturant la défense anti-aérienne et toucher des points sensibles, comme récemment, la centrale de Tchernobyl. De son côté, l’Ukraine a repris ces tactiques à sa manière, en développant ses propres drones longue portée. Certains peuvent aller très loin, jusqu’à 1000 km à l’intérieur du territoire russe. Parfois, ce sont des modèles assez sophistiqués, comme le Beaver – littéralement "le Castor" – un drone qui a déjà visé des bâtiments du renseignement russe. Mais l’Ukraine utilise aussi des modèles bien plus rudimentaires, qui ressemblent à de simples avions de tourisme autonomes. Sauf que malgré leur apparence basique, ces drones ont réussi à frapper des raffineries de pétrole situées à plusieurs centaines de kilomètres de la frontière.

    25/02/2025 - Numerama
  • L’accessoire indispensable du soldat en Ukraine aujourd’hui #shorts

    L’accessoire indispensable du soldat en Ukraine aujourd’hui, c’est le mini-drone. Que ce soit du côté ukrainien ou russe, ces engins sont désormais produits par millions chaque année, et rien que sur le front, plus d’une centaine de drones tombent chaque jour. On parle ici de modèles bon marché, fabriqués à partir de composants chinois, et utilisés pour tout un tas de missions : Reconnaissance, pour inspecter une zone. Renseignement, pour récupérer des données et guider l’artillerie. Attaque, soit en larguant des explosifs, soit en mode suicide, une méthode qui s’est largement imposée depuis 2023 grâce aux évolutions technologiques. Certains crachent même du feu, oui oui : sur ces images, on voit des drones avec munitions dites thermites, fortement incendiaires, qui atteignent les 2500 degrés pour aller nettoyer une tranchée on va dire. Et parmi ces évolutions, il y en a une qui a tout changé : le pilotage en vue subjective, ou FPV. Avec un simple masque, le pilote voit exactement ce que voit son drone, ce qui permet des attaques ultra-précises, notamment sur des points faibles comme la tourelle des chars russes, connue pour être leur talon d’Achille. Les drones FPV sont devenus une arme de référence dans le conflit… jusqu’à récemment. Parce qu’encore une fois, une nouvelle technologie est en train de changer la donne : la fibre optique. Alors, pourquoi la fibre optique ? En gros, elle utilise des fils ultra-fins en verre ou en plastique pour faire circuler l’information à la vitesse de la lumière. Résultat : une connexion hyper rapide, ultra stable et impossible à brouiller. Et sur le champ de bataille, c’est un énorme avantage. Le plus surprenant, c’est que ce câble peut être déroulé sur plusieurs kilomètres et qu’il est assez résistant pour ne pas se couper au moindre obstacle. Ça permet de piloter un drone armé sans aucun risque de brouillage. Sauf que… certains soldats ukrainiens ont déjà trouvé une parade : il leur suffit de suivre le fil pour remonter directement jusqu’à la base russe. Mais attention, dans le ciel, il n’y a pas que des petits drones du commerce. Il y a aussi des dizaines de modèles militaires conçus spécialement pour la guerre. Côté russe, on retrouve par exemple les Orlan, des drones de surveillance, ou encore les Lancet, des drones kamikazes très présents sur le front. Côté ukrainien, les États-Unis fournissent des Switchblade, des drones suicides miniatures qui frappent à très courte portée.

    24/02/2025 - Numerama
  • 3 ANS après L'INVASION : Ces DRONES TUEURS ont changé la face de la GUERRE RUSSIE - UKRAINE

    L’invasion totale de l’Ukraine par la Russie entre dans sa troisième année, et la guerre a radicalement évolué. De nombreux drones utilisés en 2022 sont désormais obsolètes, remplacés par de nouveaux modèles qui redéfinissent les stratégies militaires. Quels sont ces engins qui dominent aujourd’hui dans cette guerre et comment sont-ils employés par les deux camps ? Décryptage des drones et des tactiques qui façonnent le conflit. Sommaire 00:00 - La guerre des drones en Ukraine 01:27 - L’accessoire indispensable du soldat en Ukraine : le mini-drone 02:07 - L'évolution qui a tout changé : le pilotage en vue subjective (FPV) 02:30 - La fibre optique, une énorme avantage sur le champs de bataille 03:09 - Les drones militaire (Orlan, Lancet, Switchblade…) 03:34 - Les drones longue portée (Shahed-136, Geran-2, Beaver) 04:57 - Les drone de mer et de terre (Magura-V5, Sea Baby, …) 06:03 - Le futur de la guerre Russie-Ukraine — Tous nos articles sur le conflit entre la Russie et l'Ukraine ► https://www.numerama.com/tag/conflit-entre-la-russie-et-lukraine/ Comment s’informer sur la guerre en Ukraine en évitant la désinformation ? ► https://www.numerama.com/cyberguerre/865167-comment-sinformer-sur-la-guerre-en-ukraine-en-evitant-la-desinformation.html Guerre Russie – Ukraine : pour trouver les soldats russes, il suffisait de suivre la fibre optique du drone ► https://www.numerama.com/tech/1907553-guerre-russie-ukraine-pour-trouver-les-soldats-russes-il-suffisait-de-suivre-le-fil-du-drone.html Un drone heurte le bouclier antiradiation de la centrale nucléaire de Tchernobyl ► https://www.numerama.com/tech/1905305-un-drone-heurte-le-bouclier-antiradiation-de-la-centrale-nucleaire-de-tchernobyl.html Russie : ces avions kamikazes transformés par l’Ukraine menacent les usines du pays ► https://www.numerama.com/tech/1665242-russie-ces-avions-kamikazes-transformes-par-lukraine-menacent-les-usines-du-pays.html Un drone naval ukrainien attaque un hélicoptère russe dans un combat inédit ► https://www.numerama.com/tech/1862298-un-drone-naval-ukrainien-attaque-un-helicoptere-russe-dans-un-combat-inedit-video.html --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama

    23/02/2025 - Numerama

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