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Added on the 29/01/2025 11:20:36 - Copyright : Numerama
Le 15 septembre 2025 est un jour important pour Apple. Avec sa grande mise à jour iOS 26, la marque prend un risque immense. Elle peut autant impressionner ses utilisateurs que les décevoir, puisque le nouveau design Liquid Glass propose quelque chose de radicalement différent avec les 12 précédentes versions. Si les utilisateurs de la version bêta semblent majoritairement conquis, Apple va désormais s’attaquer au grand public qui pourrait être surpris par cette nouvelle approche. Avec iOS 26, Apple signe sa refonte visuelle la plus ambitieuse depuis iOS 7, avec l’introduction du design « Liquid Glass ». Celui-ci se traduit par des interfaces plus translucides, des effets de lumière dynamiques et une profondeur inédite. Les interfaces de toutes les applications évoluent : iOS 26 sera une mise à jour qui fera grandement parler à sa sortie. Au-delà de la partie esthétique, iOS 26 apporte également plusieurs améliorations. Messages intègre la traduction automatique des messages et les sondages, ainsi que les arrière-plans. Une nouvelle option pour préserver son autonomie fait son apparition et CarPlay, qui permet de connecter son iPhone à une voiture, change de design.
C’est une preuve supplémentaire de la capacité ukrainienne à porter des coups notables à la Russie en mer Noire, malgré sa supériorité maritime. Dans la nuit du 9 au 10 septembre 2025, les forces spéciales du service de renseignement militaire de l’Ukraine (GUR) sont parvenues à frapper un navire russe avec un drone aérien. Point notable de l’attaque : elle s’est déroulée à proximité du territoire russe, dans la baie face au port de Novorossiisk, où Moscou a replié une partie de sa flotte, afin de l’éloigner des côtes ukrainiennes, et donc des frappes de missiles ou de drones. C’est cependant une installation toujours à portée de Kiev : des attaques y ont été menées par le passé. Selon le compte-rendu de Kiev, ce bateau « effectuait des reconnaissances radioélectriques et patrouillait » aux abords de Novorossiisk. Le navire est de la classe Spassatel Karev (MPSV07), dont la mise en service remonte à 2015 — c’est aujourd’hui le dernier-né de sa classe. Trois autres navires de cette catégorie existent, lancés en 2012 et 2013. Le Spassatel Demidov — c’est son nom — est « équipé de machines permettant d’explorer les fonds marins et les objets endommagés gisant à des profondeurs pouvant atteindre 1 000 mètres » et « peut effectuer des opérations de plongée sous-marine jusqu’à une profondeur de 300 mètres », selon Ship Technology. C’est un navire polyvalent, relève l’armée ukrainienne, ce que confirme Ship Technology : armé par une vingtaine de marins, il sert au dépannage et au sauvetage, et dispose de capacités de brise-glace. Il n’est en revanche pas destiné au combat directement — on ne trouve ainsi aucune arme spécifique sur le bateau. Il contribue toutefois à la logistique russe. L’attaque a donné lieu à une vidéo dans laquelle on voit le drone foncer vers le navire, avec une caméra en vue subjective en vision nocturne. Il heurte le haut du Spassatel Demidov, un peu au-dessus de la passerelle. La vidéo se coupe à l’impact, ce qui n’empêche pas de constater les dégâts. Kiev reconnaît que ce vaisseau de classe MPSV07 n’a pas coulé — il aurait plutôt fallu viser la coque à hauteur de la surface de la mer, ou en-dessous, pour provoquer une voie d’eau. Cependant, Kiev estime que cela imposera à la Russie des « réparations coûteuses ». Par ailleurs, cela sort du jeu ce bateau, car « hors service ». La frappe a heurté une zone où l’on trouve des équipements de navigation, de renseignement électromagnétique et de communication. Cela illustre de nouveau les effets que peuvent produire des équipements offensifs à bas coût comme un drone face à des cibles de valeur : le navire ciblé a un coût estimé à 60 millions de dollars. Si l’Ukraine met régulièrement en scène ses succès en matière de bataille navale en mer Noire — comme, fin août, son opération réussie contre une corvette de classe Bouïan (Projet 21631), également endommagé après une frappe de drone aérien, en mer d’Azov –, elle enregistre aussi parfois des revers en mer. Ainsi, toujours à la fin du mois d’août, il a été noté qu’un drone de surface russe est parvenu à couler le navire collecteur de renseignement ukrainien Simferopol, alors qu’il se trouvait à l’embouchure du Danube, pas loin de la Roumanie. Signe que, malgré les réussites ukrainiennes, Kiev demeure aussi exposée en mer Noire, y compris près de son territoire.
Et si votre prochain smartphone était fabriqué avec des crevettes. Aujourd'hui, pour fabriquer certains composants de nos smartphones et ordinateurs, on utilise des résines issues du pétrole polluantes et parfois toxiques. Mais il existe une alternative : le chitosane, que l'on extrait des carapaces de crevettes qui finissent d'habitude à la poubelle. Cette résine naturelle, biodégradable et renouvelable pourrait réduire de moitié l'empreinte carbone de la fabrication des puces tout en restant presque aussi efficace. Si les tests réussissent, nos technologies du futur pourraient contenir un petit bout de crustacés. Cette vidéo a été réalisée à partir de l’article « Des déchets de crevette pour une électronique plus écoresponsable ? » disponible sur le site theconversation.com.
Un rare phénomène météo s'est produit au Portugal, créant un nuage rouleau géant. La vague de chaleur actuelle pourrait être la cause de ce phénomène. Certains vacanciers ont eu peur, pensant à un tsunami, mais il s'agissait d'un événement météo rare lié au climat.
Le jeu Future Guessr créé en partenariat avec Réseau Action Climat France permet d’explorer une planète Terre marquée par le changement climatique en 2100. Voici par exemple le château de Chenonceau asséché ou encore Miami et Shanghaï inondés dans un monde à +2,7°C. Pour chaque réponse donnée, FutureGuessr nous explique aussi quelles seraient les conséquences de notre inaction climatique. Prenez le Grand Canyon aux États-Unis par exemple : si on laisse le climat se réchauffer, les précipitations reculeront et le manteau neigeux disparaîtra. Le fleuve Colorado s’assèchera peu à peu et des espèces emblématiques comme le condor de Californie ou l’écureuil de Kaibab seront en péril. Le but ici n’est pas tant de jouer que de réaliser quelle planète nous sommes en train de laisser aux futures générations… et à nous-même ! En 2100, il y a de fortes chances que certains représentants de la Gen Z soient encore en vie.