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Une puce Neuralink flotte dans le cerveau de cet homme #shorts

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Presque 4 mois après l'implantation de la première puce de Neuralink dans un cerveau humain, les premiers dysfonctionnements arrivent.. Certains fils d’électrodes branchés au cerveau de Noland Arbaugh se sont détachés. On ignore combien de ces fils se sont détachés et pourquoi.

Added on the 10/05/2024 18:14:42 - Copyright : Numerama

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    On vous raconte 3 histoires vraies d’espionnage, en plein cœur du plus grand salon aéronautique du monde, le Bourget. * Les prénoms des protagonistes ont été modifiés ** Nous avons sélectionné 3 histoires pour cette vidéo, mais vous pouvez toutes les retrouver sur le site de Numerama ! On vous raconte 3 histoires d’espionnage, en plein cœur du plus grand salon aéronautique du monde. Bienvenue dans un nid d’espions. Bienvenue au Bourget. Avant de débuter, sachez que toutes ces histoires sont vraies. Elles ont été dévoilées par le ministère des Armées pour alerter les professionnels sur place. Pour cette vidéo, on en a sélectionné 3, mais vous pouvez toutes les retrouver sur le site de Numerama. 3 - Les clés USB piégées Sur le stand d’un institut de recherche asiatique, Nino, hôtesse, distribue des clés USB et autre matériel informatique en guise de goodies. Des cadeaux soigneusement remis à des représentants français du spatial et de la microélectronique. Mais certains flairent l’arnaque et alertent la sécurité. Bingo : à l’intérieur des clés distribuées par Nino, on y trouve un logiciel espion déjà installé et prêt à siphonner toutes les données des appareils branchés. 2 - Le recruteur qui en savait trop Robin est ingénieur. Et comme Robin sait lier l’utile à l’agréable, il accepte l’invitation d’un industriel étranger à participer à un gala dans un grand palace parisien. Là-bas, Robin est approché par un homme se présentant comme le directeur de programme d’une entreprise asiatique. L’homme lui propose un poste en or, ce que Robin décline. L’interlocuteur joue alors son va-tout et loue à Robin les prestigieuses universités que compte son pays, notamment dans le domaine exact que sa fille souhaite étudier. N’ayant jamais un quelconque membre de sa famille, Robin coupe court à la conversation et signale l’individu à ses supérieurs. L’affaire sera même saisie par les autorités françaises qui se rendront compte que cette tentative de débauchage vers l’étranger était loin d’être isolée. L’agent d’entretien espion Alfred vient de loin. Et il a été recruté par un prestataire externe pour assurer l’entretien lors du salon du Bourget. Problème, Alfred est aperçu par un agent de la sécurité dans une salle de réunion d’un grand industriel européen, en dehors des heures prévues. Confronté par l’agent, Alfred bégaye et se retrouve au cœur d’une enquête menée par la DRSD, la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense. Une enquête qui révélera qu’Alfred avait été missionné par le service des renseignements de son pays afin de collecter des informations sur le programme d’armement développé par l’industriel en question. Une plainte a été déposée contre Alfred.

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  • Cet homme décédé s’est exprimé au procès de son tueur #shorts

    La représentation par IA d’un homme tué par balles a été autorisée à s’exprimer à l’audience de son tueur. Une première aux États-Unis. C’est une première aux États-Unis qui risque de faire des émules. Christopher Pelkey a été tué par Gabriel Paul Horcasitas en 2021 après une altercation sur la route, crime qui porte outre-Atlantique le nom de « road rage ». Et pourtant, Pelkey est apparu le jour de l’audience de son assassin pour lui adresser un message en vidéo, comme le rapporte la presse locale. La génération par IA basée sur les traits et la voix de l’homme décédé a été autorisée à s’exprimer dans un tribunal. « À Gabriel Horcasitas, l’homme qui m’a tiré dessus – c’est dommage que nous nous soyons rencontrés ce jour-là dans ces circonstances. Dans une autre vie, nous aurions probablement pu être amis », lance l’avatar de Pelkey à son tueur en pleine audience, avant d’embrayer sur le fait qu’il croit profondément au pardon. Une intervention qui a touché le juge Todd Lang, qui a déclamé après avoir vu la vidéo : « J’adore cette IA. Merci. J’ai trouvé que c’était authentique, que le pardon accordé à monsieur Horcasitas reflète parfaitement le personnage de Pelkey dont j’ai entendu parler aujourd’hui ». Derrière ce projet, on trouve la sœur de Pelkey, qui souhaitait apporter une autre dimension au procès du meurtrier de son frère, afin d’apporter une pierre au processus de guérison. « En avoir fait une œuvre de guérison pour quiconque l’a vue n’était qu’un résultat bénéfique », a-t-elle déclaré, estimant que l’intervention de son défunt frère et les mots choisis pour le faire parler, ont participé à apaiser la famille endeuillée. Techniquement, la génération vidéo et voix est très accessible en 2025, avec des services proposant la création d’avatars numériques à partir d’images et d’extraits vocaux. Reste que faire intervenir un mort à un procès n’est pas anodin. Ann A. Scott Timmer, responsable de la Cour Suprême de l’Arizona, a estimé que l’IA avait un grand potentiel pour aider celles et ceux qui n’ont pas de connaissance dans le système juridique américain, notamment à mieux se défendre. Mais, a-t-elle ajouté, « l’IA peut aussi entraver, voire bouleverser la justice si elle est utilisée de façon inappropriée. Une approche mesurée est préférable. Dans cette optique, le tribunal a formé un comité sur l’IA pour examiner l’utilisation de l’IA et formuler des recommandations sur la meilleure façon de l’utiliser. Au fond, ceux qui utilisent l’IA — y compris les tribunaux — sont responsables de son exactitude ». On imagine bien les dangers auxquels Timmer fait référence : une telle intervention d’un défunt, bien menée, pourrait tout à la fois toucher plus profondément le juge et les jurés. Mais elle pourrait aussi altérer la réalité de ce qui s’est vraiment passé : en plus des preuves et des témoignages, on a eu dans ce tribunal de l’Arizona, une génération d’image déclamant un texte que la victime n’a jamais écrit — un deepfake, en somme. Sa sœur, avec toute sa bonne volonté, n’a fait que lui prêter des propos qui n’auraient, peut-être, pas été ceux de Pelkey. Une nuance qui permet de comprendre pourquoi la Cour Suprême de l’Arizona est sur ses gardes.

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  • On n'utilise notre cerveau qu'à 10% de ses capacités ? #series #popculture #blackmirror #shorts

    Dès le premier épisode de sa saison 7, Black Mirror a frappé très fort avec une histoire coup de poing, autour d’un couple confronté à la maladie. Mike décide alors de sauver la vie d’Amanda en acceptant un programme révolutionnaire : Rivermind, capable de remplacer des tumeurs au cerveau par du tissu synthétique, pour permettre aux patients de retrouver une existence normale. Une technologie bénéfique au premier abord, qui prend un tournant glaçant lorsqu’un système d’abonnement demande de plus en plus d’énergie et d’argent à Mike et Amanda… Pourtant, un tel dispositif est loin de la réalité pour Valentin Wyart : « On n’a pas du tout les technologies nécessaires aujourd’hui pour prendre l’empreinte d’une région du cerveau. Cela représente énormément de neurones et de connexions synaptiques. » Si des implants cérébraux existent déjà, ils restent beaucoup plus simples que les dispositifs évoqués dans l’épisode 1, et notamment les publicités déclamées par Amanda : « Des entreprises comme Neuralink, dirigée par Elon Musk, font des recherches au niveau du cortex moteur. Si on le stimule, on peut théoriquement produire des mouvements chez vous, chez moi ou chez un animal qu’on aurait implanté. Mais cela donnerait l’impression d’être contrôlé par une entité extérieure. Et on pourrait peut-être faire bouger une souris dans une direction particulière, mais c’est bien le maximum qu’on pourrait faire. Il faut bien comprendre qu’une technologie qui fonctionne déjà à un niveau très simple ne pourrait pas nécessairement être améliorée dans le futur. » Valentin Wyart est donc clair sur les dispositifs mis en place dans Des gens ordinaires : « Cette technologie, je pense, n’existera jamais. Et heureusement ». Vous pouvez dormir tranquilles.

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  • La prochaine RÉVOLUTION dans la TECH est ORGANIQUE #shorts

    Les cellules souches pourraient devenir les concurrents directs de Nvidia. Cortical Labs, une startup australienne d’intelligence artificielle, a entraîné des cellules cérébrales humaines sur une puce informatique pour jouer au jeu vidéo Pong, une simulation rudimentaire de tennis. Ces cellules ont réussi à apprendre à jouer en cinq minutes, grâce à leurs communications électriques. « Ces neurones ont leur propre réactivité électrique interne. Si vous leur donnez les bonnes informations, vous pouvez façonner leur comportement, de sorte qu’ils ne déclenchent pas d’activité électrique aléatoire, mais qu’ils soient capables de bouger de manière dictée », le tout, avec moins de données et « beaucoup moins d’énergie que les systèmes d’intelligence artificielle » assure Hon Wen Chong, le PDG de Cortical Labs, dans un entretien accordé à Numerama. Cette prouesse, la jeune firme l’a réalisée en 2022, alors qu’elle n’avait que 3 ans. De quoi mettre sur le devant de la scène un nouveau champ de recherches : l’intelligence organoïque, une révolution. Formalisée en 2023 par une équipe internationale conduite par des chercheurs de l’Université Johns-Hopkins, aux États-Unis, l’intelligence organoïque se fixe comme objectif de « remplacer les transistors qui composent nos processeurs digitaux par des organoïdes cérébraux » explique le docteur Fred Jordan à Numerama, cofondateur de FinalSpark, autre startup pionnière du domaine basée en Suisse. « Les organoïdes sont des petites boules de cellules souches qui miment les fonctions de certains organes comme le cerveau ou le cœur » précise Frank Yates, enseignant-chercheur à l’école SupBiotech. Si les organoïdes utilisés dans la recherche ne sont pas de mini-cerveaux, ils sont faits des mêmes neurones, ont des capacités d’apprentissage similaires et une faible consommation énergétique. « Pour réfléchir, le cerveau a besoin de 20 watts. Si l’on veut faire une simulation digitale d’un cerveau, on a besoin d’une consommation énergétique 1 million de fois plus importante », souligne Fred Jordan, qui imagine développer des centres de cloud computing dignes de ceux d’Amazon Web Services, mais uniquement à partir de tissus nerveux, et ce, d’ici une dizaine d’années. L’autre intérêt de l’intelligence organoïque est sa capacité d’apprentissage. C’est tout l’enjeu du travail de recherche de la directrice du laboratoire de mathématiques J-A Dieudonné de l’Université Côte d’Azur, Patricia Reynaud Boulet, que d’analyser les capacités d’apprentissage de ces organoïdes. « Les organoïdes ne sont pas des cerveaux, loin de là. Ce ne sont que quelques milliers de neurones, quand le cerveau humain en a des dizaines de milliards. C’est quelque chose de tellement petit et basique que cela reste très bête. Je pense que là où les réseaux de neurones biologiques peuvent avoir un avantage sur les réseaux de neurones artificiels, c’est pour certaines tâches très spécifiques comme l’apprentissage ou la classification d’informations », nous dit-elle. Pour autant, entreprises et chercheurs sont-ils vraiment loin d’avoir réussi à développer un ordinateur fondé sur des neurones, voire une intelligence autonome, capable de penser et de ressentir des émotions ? Vers des machines empathiques : la quête d’une intelligence authentique Cela reste le dessein d’entrepreneurs comme Hon Weng Chong, qui voit dans l’intelligence organoïque, la possibilité à terme, de créer une intelligence artificielle générale, c’est-à-dire susceptible d’apprendre pratiquement n’importe quelle tâche propre aux humains ou autres animaux. Un point de vue partagé par Claude Touzet, derrière la théorie de la robotique développementale : selon ce spécialiste des sciences cognitives, l’intelligence artificielle passera nécessairement par la création de robots capables de toucher, d’entendre et d’interagir avec le monde. En attendant la création d’un humanoïde conscient, Cortical Labs a présenté son premier bio-ordinateur au plus grand salon de l’industrie de la téléphonie mobile, le Mobile World Congress, le 3 mars 2025, en Espagne. Il sera possible d’y écrire du code informatique en langage Python pour obtenir des informations sur l’activité électrique des neurones cérébraux, mais également de programmer cette activité selon les besoins des expérimentateurs. Les considérations éthiques se multiplient autour de ce champ de recherche qui n’en est qu’à ses balbutiements, mais Frank Yates se veut rassurant : « on ne fait pas de recherche en biologie sans se poser en permanence des questions éthiques », souligne l’enseignant-chercheur qui rappelle que « dès qu’on travaille sur des cellules humaines, il faut obtenir le consentement du patient qui donne ses cellules. Il ne donne pas son consentement ad vitam aeternam mais pour une utilisation donnée, et selon les droits nationaux, dans certains pays, dont la France, le patient a le droit de se rétracter ».

    19/03/2025 - Numerama

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Watch video of Avant Thomas Pesquet, D’autres Français Sont Partis Dans L’espace, Dont Philippe Perrin. En 2002, Il A Passé Deux Semaines En Apesanteur Pour Assembler L’ISS. Comment Sa Famille A-t-elle Vécu Cette Mission Périlleuse ? L’astronaute Se Confie à Numerama.
La Peur Est Un Cadeau Pour Les Astronautes. Cette émotion Est Une Information, Qui Les Guide Dans L’environnement Dangereux De L’espace. Mais Qu’en Est-il De Leurs Proches ? Si L’astronaute Est Confronté Régulièrement Au Risque Dans Sa Carrière, Que Ce Soit à L’entrainement Ou En Mission, Sa Famille Y Est Beaucoup Moins Préparée.

Comment Les Proches Des Astronautes Vivent-ils La Situation ? « C’est Très Difficile », Reconnaît Philippe Perrin. Il Sait De Quoi Il Parle : Cet Astronaute Est Le Neuvième Français à être Parti Dans L’espace, En 2002. Dans Un Long Entretien Accordé à Numerama, Le Spationaute S’est Confié Sur Les Risques De Son Métier Pour Ses Proches. - Comment on sort dans l'espace ? #shorts - Label : Numerama -
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Comment on sort dans l'espace ? #shorts

21/06/2024 18:36:45

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