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Added on the 25/12/2024 11:45:03 - Copyright : Numerama
Le célèbre paradoxe « l’œuf ou la poule » pourrait bien être enfin résolu, grâce à des avancées en génétique de l’évolution. Voici lequel est arrivé en premier. C’est l’un des plus célèbres paradoxes au monde : l’œuf ou la poule, lequel est arrivé en premier ? Sachant que la poule pond l’œuf, mais que la poule naît dans l’œuf, voilà un dilemme qui semble insoluble. Sauf que les scientifiques n’ont pas dit leur dernier mot. Une étude publiée le 6 novembre 2024 apporte sa propre conclusion au paradoxe : l’œuf est arrivé en premier. Mais comment les scientifiques en arrivent-ils à cette réponse ? La biochimiste Marine Olivetta et son équipe, à l’université de Genève, se sont penchées sur un organisme unicellulaire : Chromosphaera perkinsii. Ce dernier vit au fond de la mer, dans la région d’Hawaï. Sa présence sur Terre remonte à plus d’un milliard d’années. Cet organisme existe depuis un temps bien antérieur à l’apparition des animaux sur Terre. Sauf que ces travaux montrent qu’il est capable de différenciation multicellulaire. Une différenciation qui adopte une forme tridimensionnelle. En des termes plus simples : il comporte, dans sa « programmation », le processus embryonnaire… le même processus qui existe chez les animaux et dont l’œuf est le fruit. Car à l’origine d’un embryon, on trouve toujours cette division multicellulaire, qui entraîne ensuite une croissance. L’étude montre que Chromosphaera perkinsii forme même un équivalent de la blastula (le stade précoce de tout embryon). Or, comme cet organisme « cousin » a précédé les animaux, cela signifie que la capacité à développer des embryons a précédé, elle aussi, les animaux. La capacité génétique à former un œuf était « avant la poule ». Il est tentant d’y voir une victoire par K.O. grâce à la génétique. Au-delà d’apporter une réponse possible à ce fameux paradoxe, les auteurs de l’étude se réjouissent de ce chaînon important dans le processus fondamental de l’évolution. Continuer les études sur cet organisme unicellulaire pourrait contribuer à mieux retracer l’histoire génétique de l’apparition des animaux.
Un grand mystère des chats a été percé : on sait enfin comment ils ronronnent. Jusque-là, le ronronnement posait problème aux biologistes. Ça semblait impossible que ce son soit produit par les cordes vocales d’un chat, car c’est un son basse fréquence, c'est-à-dire très grave. Normalement, ce type de son peut être entendu seulement chez les gros animaux, pas les petits, car il faut des longues cordes vocales. Pour vous donner une idée : Une voix d’homme, c’est 140 hertz. Un ronronnement va de 20 à 30 hertz. En fait, la fréquence d'un ronronnement est davantage compatible avec un éléphant qu'avec un petit félin ! Mais des bioacousticiens ont découvert des masses inhabituelles des tissus fibreux incrustés dans les cordes vocales des chats. Ces coussinets avaient déjà été vus, mais personne n’avait trouvé leur fonction. C’est grâce à ces masses que les chats peuvent ronronner. En gros, ils rendent les cordes vocales plus lourdes et augmentent leur densité, ce qui leur permet de produire des sons très grave.
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L’application WhatsApp accueille une nouvelle icône dans la fenêtre principale de la messagerie instantanée, là où se trouvent toutes vos discussions. Représentée par un cercle bleu, elle renvoie à un autre service de Meta, centré sur l’intelligence artificielle générative. Il y a du changement dans WhatsApp. Depuis une mise à jour récente de l’application mobile, l’interface de la fenêtre d’accueil a légèrement changé : désormais, un cercle bleuté figure en bas à droite de l’écran, au-dessus du bouton vert permettant de démarrer une nouvelle conversation. Un rond qui n’apparaît que dans l’onglet des discussions, et nulle part ailleurs. Ce rond bleuté, qui affiche des teintes violettes et turquoises, symbolise en fait un service assez récent de Meta, le nom de la maison-mère de Facebook, Instagram, Threads, Messenger et WhatsApp. Il s’agit du logo représentant Meta AI, ou Meta Artificial Intelligence, la plateforme d’intelligence artificielle générative (GenAI). Bien que les efforts de Meta dans l’IA remontent à plus de dix ans, ce n’est que depuis quelques années que le public peut concrètement les percevoir. Le coup d’accélérateur dans ce domaine a été l’irruption de ChatGPT, fin 2022, qui a obligé les principaux géants du web à réagir rapidement pour proposer une alternative maison, et ne pas louper le coche. Meta AI est donc la réponse de Meta à la mode de la GenAI, et c’est via cette structure que l’entreprise américaine a lancé son propre chatbot. Et, bien sûr, Meta pousse évidemment son avantage en intégrant un bouton raccourci vers Meta AI dans ses principales applications, comme Messenger et WhatsApp. C’est une stratégie habile : ces applications sont utilisées par des milliards de personnes dans le monde — plus de 2 milliards pour la messagerie sécurisée, selon des données de 2020. De fait, c’est un moyen idéal de toucher d’un coup une immense communauté, et de potentiellement gagner rapidement des millions de nouveaux adeptes.
Des drones survolant les États de New York et du New Jersey suscitent l’inquiétude de nombreux Américains. Donald Trump a suggéré une réponse musclée : les « abattre ». Voici ce que l’on sait à l’heure actuelle. Depuis près d’un mois, des drones nourrissent chaque nuit les théories du complot aux États-Unis. La dernière conférence de presse du Secrétaire à la sécurité intérieure du pays, Alejandro Mayorkas, apporte quelques éclaircissements, sans donner d’explication concrète. Pour rappel, depuis le 18 novembre, des dizaines de signalements de drones ont été rapportés dans l’État du New Jersey, non loin de New-York, mais également dans d’autres régions du nord-est des États-Unis. Au total, des objets volants ont été observés dans six États : le New Jersey, New York, le Connecticut, la Pennsylvanie, le Massachusetts et la Virginie. Les inquiétudes se sont intensifiées après que des drones ont été repérés près de l’arsenal de Picatinny, un centre de recherche militaire américain, et au-dessus du terrain de golf du président élu Donald Trump à Bedminster. Les théories les plus farfelues vont bon train : d’aucuns sur les réseaux sociaux affirment qu’une bombe nucléaire « sale » est arrivée à New York et que les drones surveillent les radiations ; d’autres tombent dans le complotisme le plus simple : si nous ne savons pas ce que c’est, alors ce sont des aliens.