Description
Added on the 27/09/2015 16:50:27 - Copyright : Be Web Factory
Le 14 juillet 2024, la France a découvert les drones pyrotechniques. Capables de cracher du feu et d'afficher des images dans le ciel, ces engins volants réinventent les spectacles nocturnes (et suivent la tendance des spectacles de drones, comme à Disneyland ou au Tour de France). À Versailles, Numerama a suivi les artificiers du Groupe F, une entreprise spécialisée dans les feux d'artifice depuis plus de 30 ans. Depuis le début des années 2020, elle mise sur les drones pour se réinventer. Sommaire 00:00 - Drone show, la nouvelle tendance 00:55 - Qu’est-ce que le Groupe F 03:07 - Les drones particuliers du Groupe F 04:49 - Préparation du drone show à Versailles 07:16 - Le spectacle de drones commence ! 09:18 - Après le spectacle de drones 10:17 - Est-ce que le drone va remplacer le feu d’artifice ? L'article par ici ► https://numerama.com --- Abonnez-vous à notre chaîne ► https://youtube.com/c/numerama Retrouvez toutes nos playlists ► https://www.youtube.com/c/numerama/playlists --- Rejoignez-nous : Notre site ► http://www.numerama.com/ Twitter ► https://twitter.com/numerama Instagram ► https://www.instagram.com/numerama TikTok ► https://www.tiktok.com/@numerama Facebook ► https://www.facebook.com/Numerama/ ️ Twitch ► https://www.twitch.tv/numerama
“Allumée” lors de la cérémonie d’ouverture le 26 juillet 2024, la vasque olympique n’est qu’un mélange d’eau et de lumière qui donne l’illusion d’une flamme. Imaginée par Mathieu Lehanneur en partenariat avec EDF, cette “flamme” olympique est impressionnante et n’utilise aucun combustible. Elle s’élève tous les soirs dans le ciel de Paris au jardin des Tuileries pendant toute la durée des Jeux. La vraie flamme se serait-elle donc éteinte après la cérémonie d’ouverture ? Pas du tout ! La vraie flamme olympique se trouve en fait juste à côté de la vasque, dans une lanterne bien gardée dans une vitrine. C’est la flamme originelle, allumée à Olympie en Grèce le 16 avril 2024 et transportée jusqu’à Paris par différents porteurs.
C’est le symbole de ces JO : la vasque olympique s’envole le soir à Paris, dans le jardin des Tuileries, à 60 mètres de hauteur sous les applaudissements de la foule. Elle reste bien sagement au dessus du grand bassin rond. Mais comment évite-t-on qu’elle s’échappe dans le ciel ? La vasque est pendue sous un ballon captif, rempli d’hélium. Ce gaz est plus léger que l’air, c’est pour cela que le ballon tire naturellement vers le haut et soulève la vasque. Pour éviter que le ballon s’envole dans la stratosphère et soit perdu à tout jamais, il est relié au sol par un câble. C’est à lui que revient la lourde tâche de retenir le ballon, dont la nacelle pèse tout de même 1,8 tonne. Le câble sert aussi à alimenter la flamme olympique. Cette flamme sans combustible est faite de lumière et d’eau. Le cordon alimente la flamme pendant son vol en eau et en électricité. La véritable flamme olympique, elle, reste au sol bien protégée dans une boite en verre.
Si on a eu l’habitude de voir depuis la création des Jeux une vasque en forme de chaudron ou de coupe qui reste au sol, celle qui s’est élevée dans le ciel parisien lors de la cérémonie d’ouverture des JO 2024 n’a rien à voir avec ça. Ce ballon géant qui s’élève à plus de 30 mètres est un hommage à l’exploit des frères Montgolfier, inventeurs de la montgolfière. C’est le 21 novembre 1783 que le tout premier vol habité s’est effectué au-dessus de Paris. Et c’est le 1er décembre 1783 que le physicien Jacques Charles fait décoller son aérostat à gaz hydrogène, un engin plus sophistiqué, depuis les Tuileries et devant 400 000 personnes médusées. Presque 100 ans plus tard en 1878 et toujours aux Tuileries décolle l’invention de Henri Giffard, le ballon captif. Le choix des Tuileries comme décollage de la vasque des JO de Paris 2024 n’est donc pas anodin, car c’est bien aux jardins que des milliers de spectateurs peuvent aujourd’hui l’admirer.
L’astuce anti-chaleur inattendue : les plantes ! Voici les 7 plantes à avoir chez toi pour plus de fraicheur. _ L’arum et ses jolies fleurs en cornet, _ Le ficus aux feuilles abondantes, _ Le monstera et ses feuilles démesurées, _ La maranta et ses nervures pâles, _ Le calathea ou « plante paon », _ Le dracaena et ses rayures, _ Le strelitzia ou « oiseau de paradis ». Pourquoi celles-ci ? Ce sont des plantes tropicales, qui évaporent beaucoup d’eau, un bon moyen de rafraichir son intérieur. Attention cependant à leur arrosage : il doit être fréquent, mais gare à ne pas les noyer. Un pot avec un petit trou en dessous est notamment utile pour évacuer les sels minéraux de l’eau du robinet, inutiles à la plante. Attention à ne pas les mettre en plein soleil, ni dans la pénombre non plus. Il vaut mieux une lumière diffuse. Oui, c’est du boulot de maintenir sa plante en vie !