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Added on the 03/11/2011 02:50:11 - Copyright : Le Progrès
Jeudi dernier au siège du Progrès, Anthony Réveillère s’est rendu presque en voisin à notre invitation. Le défenseur latéral de l’OL, est l’un des plus «anciens» joueurs de l’effectif actuel. Arrivé en 2003, cinq fois champion de France, il a aussi connu quatre entraîneurs, et vient de prolonger son contrat jusqu’en 2013. Avec 501 matches professionnels à son compteur, «Antho» peut faire valoir une belle expérience. Demain au stade Bernabeu, il croisera le fer avec le Real Madrid pour la huitième fois.
En parvenant à égaliser à Gerland, face au Real Madrid, en 1/8e de finale-aller de la Ligue des Champions, Bafétimbi Gomis permet aux Lyonnais d'entretenir un faible espoir de qualification. Il faudra être très fort pour battre les Madrilènes à Santiago Bernabeu, le 16 mars prochain comme l'explique Claude Puel.
Ligue des Champions. Au sortir de leur huitième de finale gagné face au Real Madrid (1-0), les Lyonnais ne boudent pas leur plaisir mais restent conscients qu'ils n'ont fait que la moitié du chemin vers les quarts de finale de la C1. Le match retour le 10 mars prochain dans l'enceinte de Santiago Bernabeu s'annonce palpitant.
Selon les statistiques, l'Olympique Lyonnais ne réussit pas trop au Real Madrid. Lyon reste en effet sur deux victoires et deux nuls face au club merengue. Mais c'était en 2005 et 2006 à une époque où l'OL croquait tout sur son passage et où le géant d'Espagne avait des pieds d'argile. Redevenu galactique, le Real s'est fixé pour objectif ,cette saison, de remporter la Ligue des champions dont la finale se disputera à domicile au stade Santiago Bernabeu, Pour cela, Florentino Perez, le président madrilène, a beaucoup investi sur le marché des transferts à l'intersaison en recrutant Kakà, Cristiano Ronaldo et Karim Benzema. Pour l''ancien Lyonnais, ce mardi 16 février 2010 marquera ses retrouvailles avec son jardin de Gerland. Un reportage de Florence Fournier pour leprogres.fr
Trump a déjà pris deux grandes décisions absurdes pour l'environnement et la santé. Oui, dès son jour d'investiture. L'un des premiers décrets qu'il vient de signer c'est le départ des états-unis de l'Organisation mondiale de la Santé, dont ils sont pourtant l'un des principaux contributeurs financiers. Cela pose un souci pour la santé publique mondiale, puisque l'OMS met en œuvre une surveillance sanitaire, des actions visant à résoudre des épidémies, à partager les données sur les pathogènes émergents, à résoudre des crises sanitaires, ou encore à prévenir et éradiquer certaines maladies graves. Au passage, cela veut dire aussi que les Etats-Unis n'auront plus accès aux données de l'OMS sur les pathogènes émergents, les Américains pourraient gravement en pâtir. Le second décret qu'il a signé est tout aussi surréaliste : le départ de l'Accord de Paris, signé en 2015 par 196 pays... afin de limiter le réchauffement planétaire à 1,5 degré. Et c'est d'autant plus urgent que l'année 2024 a été la plus chaude jamais enregistrée. Mais Trump a même fait pire encore que ce décret : il a annoncé au même moment favoriser la production énergétique par les énergies fossiles, donc le pétrole et le gaz. Il s'est littéralement exclamé forer, bébé, forer ! C'est la pire voie possible. Et cerise sur le gâteau : il veut arrêter de favoriser les voitures électriques, alors que le secteur auto est très polluant.
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