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Added on the 02/11/2019 18:55:09 - Copyright : L'Alsace
Quel vin pourrait accompagner votre carré d'agneau aux cèpes du dimanche midi ? Dominique Hutin, chroniqueur oenologique notamment sur France Inter, dans l'émission "On va déguster", a trouvé un vin au salon Brut(es), qui se tient encore ce dimanche 3 novembre à Motoco, sur le site de DMC à Mulhouse.
Cette étude vient ajouter une nouvelle pierre à l’idée que l’instinct de sauvetage, ou la volonté de sauver d’autres individus de la même espèce, est inné chez les mammifères. Les souris semblent en effet capables de déployer de « premiers soins » à une autre souris inconsciente. Sauver les siens n’est pas une attitude qui n’appartient qu’aux êtres humains, loin de là. Dans des travaux publiés le 21 février 2025, des scientifiques montrent comment les souris cherchent à réanimer d’autres souris inconscientes, en procurant ce qui s’apparente à des « premiers soins ». La vidéo prise par l’équipe de recherche, et publiée par le New Scientist, est fascinante. Mais qu’y observe-t-on vraiment ? « Elles commencent par renifler, puis par toiletter et enfin par une interaction physique très intensive », explique Li Zhang, principal auteur du papier de recherche. Cette interaction consiste à lécher les yeux, puis à ouvrir la bouche de l’autre souris et même à lui tirer la langue. Ce, afin de libérer le passage de l’air. Dans l’un des tests, les auteurs ont placé une balle en plastique — non létale — dans la bouche de la souris inconsciente. Résultat ? L’autre souris a retiré cette balle dans 80 % des cas ; et les chercheurs relèvent que, s’ils avaient laissé plus de temps aux souris, ce chiffre aurait pu augmenter. Les souris savaient également bien faire la distinction entre un pair inconscient et un pair simplement endormi ; en revanche, elles tentaient aussi le sauvetage sur des pairs décédés. L’ocytocine : un instinct « aidant » chez tous les vertébrés ? Cette observation étant accompagnée d’une étude neurobiologique du comportement de ces souris, les scientifiques ont pu déterminer que ces « premiers soins » sont reliés à deux régions du cerveau et à la libération d’une hormone spécifique, l’ocytocine. Celle-ci est naturellement présente chez les mammifères — et une grande part des vertébrés. Elle est parfois décrite comme l’« hormone de l’amour » ou « hormone de l’attachement », car elle joue un rôle clé dans les comportements sociaux de lien. De fait, les auteurs relèvent dans leurs conclusions que les réactions d’urgence visant à réanimer des pairs inconscients sont certainement « un comportement inné largement présent chez les animaux sociaux ». Ce comportement joue lui-même « probablement un rôle dans l’amélioration de la cohésion et de la survie du groupe ». Et en effet, cette attitude qui consiste à essayer de sauver un autre individu a été identifiée par exemple chez les éléphants, les chimpanzés, les dauphins.
Le salon des vins de Chavanay qui se tient du 13 au 16 décembre avec le portrait d’une famille de vignerons, la famille Rouvière installée à Chavanay. Aujourd’hui, ils travaillent sur plus de 28 hectares de vignes. Ils font du Condrieu, Saint-Joseph blanc, saint-joseph rouge. Ils ont créé des cuvées spéciales pour leurs enfants et petits-enfants. Les parents ont acquis le domaine en 1985 rejoints par leurs enfants en 2012.Le marché aux vins c’est 10 000 visiteurs sur les quatre jours
Entre la plantation mécanisée de bulbes de narcisses et la plantation, à la main, de tulipes après avoir mis les massifs à nu, les agents du service jardins publics et espaces verts sont en plein travail pour préparer un printemps très fleuri.