Description
Added on the 27/02/2025 18:00:42 - Copyright : Numerama
Ça, c’est notre nouvelle souris préférée : la Logitech MX Master 4. Elle vient d’être annoncée et c’est franchement un produit super intéressant. Vous connaissez peut-être déjà la gamme MX Master : ce sont les souris haut de gamme de Logitech. Elles se distinguent par une prise en main ergonomique avec un espace pour poser le pouce, plusieurs molettes pour naviguer (de gauche à droite, en haut à droite) et de nombreux boutons paramétrables. Le tout peut être configuré via une application dédiée. La grande nouveauté cette année, ce sont les retours haptiques. Dit autrement : des vibrations intégrées. Une nouvelle zone a été ajoutée à côté du pouce ; quand vous appuyez dessus, la souris vibre et déclenche des raccourcis à l’écran. Par exemple : • Dans Word ou vos mails, vous pouvez lancer ChatGPT en un clic. • Si vous montez une vidéo dans Premiere Pro, la souris vibre quand vous interagissez avec la timeline, ce qui vous permet de ressentir l’action sans quitter l’écran des yeux. L’idée de Logitech est d’apporter sur l’ordinateur ce que nous avons déjà sur les smartphones : les retours haptiques. Et la souris est le support idéal, puisque c’est l’accessoire qu’on tient en main en permanence. Pour accompagner cela, Logitech a même lancé une sorte d’App Store pour la souris, proposant des extensions pour Apple Music, Spotify, Photoshop, etc. Vous pouvez ainsi recevoir des retours haptiques adaptés selon vos usages. Il existe quatre niveaux d’intensité au choix. Pour le reste, la MX Master 4 reste une souris ultra haut de gamme : agréable, ultra silencieuse (on n’entend presque pas les clics), avec une autonomie de 70 jours. Logitech a aussi pensé à la réparabilité : les vis sont désormais visibles, contrairement aux générations précédentes. Le prix est de 129 €. C’est cher, mais si vous êtes un professionnel de la productivité, de l’édition ou de la création, c’est une souris vraiment recommandée. En revanche, si vous avez seulement besoin de cliquer sur Internet sans fonctions avancées, il existe évidemment des modèles bien moins chers que la MX Master 4.
Les Russes ont envoyé une véritable arche de Noé dans l’espace. C’est en tout cas le surnom attribué à la mission spatiale Bion-M n°2. Et ce n’est pas étonnant lorsqu’on se penche sur son équipage un peu particulier : 75 souris, 1 500 mouches, des algues, des graines, des microbes et d’autres organismes vivants ont été placés en orbite pendant 30 jours dans une capsule spatiale. L’objectif était d’étudier comment tous ces colocataires réagissent à la radiation, à la gravité et aux rayonnements cosmiques, aussi bien d’un point de vue biologique que reproductif. Saviez-vous que la vie sur Terre pourrait avoir une origine extraterrestre ? C’est en tout cas l’hypothèse que cette expérience tente d’explorer, une théorie connue sous le nom de panspermie. Ce “zoo spatial” devait également permettre d’étudier si des micro-organismes transportés par un astéroïde ou une comète pourraient donner naissance à la vie sur d’autres planètes. Enfin, la mission visait aussi à ouvrir la voie à de futurs voyages humains de longue durée. Comme son nom l’indique, Bion-M n°2 avait un prédécesseur. Dans celui-ci, on retrouvait notamment des lézards, des gerbilles de Mongolie et même des escargots. De quoi se demander quels seront les prochains animaux à voyager dans l’espace.
La nouvelle montre Samsung peut vous renseigner sur le vieillissement de votre peau ! Mais est-ce vraiment utile ?
Et si le caca des manchots pouvait régler la crise climatique ? Non, non, ce n’est pas une blague : les excréments de manchot, appelé le guano, pourrait participer activement à la protection du climat. C’est ce que révèle une étude menée par des scientifiques de l’Université d’Helsinki. L’étude publiée le 22 mai dans la revue Nature, Communications Earth & Environment explique que le guano libère de l’ammoniac. En réagissant avec des gazs contenant du soufre, l’ammoniac peut accroitre la formation de nuage. Ces nuages agissent comme des couches isolantes, ce qui permet de réduire la température à la surface de la banquise et donc de freiner la fonte des glaces qui met en péril l’habitat de ces animaux. Pour étudier cet effet, les chercheurs ont mesuré la concentration d’ammoniac dans l’air d’un site proche de la base de Marambio en Antarctique entre janvier et mars 2023. Ils ont pu constater que lorsque le vent soufflait en direction d’une colonie de 60 000 manchots Adélie située quelques kilomètres plus loin, la concentration d’amoniac atteignait plus de 1000 fois la valeur de référence. Et même après la migration des manchots, cette concentration restait plus de 100 fois supérieur. Comme quoi, certains excréments peuvent être utile à la planète.
Il existe une croyance populaire qui veut que pleurer soit cathartique. Alors, mythe ou réalité ? Ad Vingerhoets a voulu en avoir le cœur net. En 2008, il a co-dirigé une étude portant sur à peu près 5000 personnes situées dans 35 pays différents dans laquelle il demandait aux participants la dernière situation où ils avaient pleuré et s’ils s’étaient sentis mieux par après. Les résultats sont mitigés : 50 % des participants affirmaient se sentir mieux après l’épisode de pleurs, 40 % ne voyaient pas de différence et enfin, 10 % se sentaient moins bien.