Description
Added on the 03/12/2020 14:35:55 - Copyright : Le Dauphiné - Haute-Savoie Ain Infos
Les trois sœurs Chamade continuent de tutoyer les sommets des audiences de TF1, chaque lundi soir, avec Cat’s Eyes. Mais les précieux tableaux récupérés par ces voleuses d’art sont-elles de vraies œuvres ? Chaque lundi soir, depuis le 11 novembre 2024, des millions de Français se rassemblent sur TF1 pour chanter à tue-tête un générique culte de leur enfance : « Sœurs et solidaires, sur terre ou en l’air, relevant tous les défis… Cat’s Eyes ! Signé Cat’s Eyes ! » La nouvelle adaptation du manga de Tsukasa Hōjō cartonne ainsi sur la chaîne, en nous racontant l’histoire de Tamara, Alexia et Sylia, trois héroïnes cherchant à récupérer de précieux tableaux, ayant appartenu à leur père disparu. Elles parcourent alors de prestigieux lieux parisiens, de la tour Eiffel jusqu’au musée du Louvre, pour mettre la main sur ces chefs-d’œuvre artistiques. Mais les Cat’s Eyes volent-elles de véritables tableaux ? Dans la série phare de TF1, une peinture singulière se trouve au centre de toutes les convoitises : le fameux Cat’s Eye. Si inestimable soit-il, ce tableau, qui reprend le logo utilisé par les trois sœurs lors de leurs cambriolages, est pourtant une création originale, comme l’a souligné Télé-Loisirs. Imaginée par Hervé Gallet, chef décorateur de la série, et la graphiste Frédérique Frick, cette toile d’inspiration cubiste reprend ainsi les couleurs iconiques des trois héroïnes, que l’on peut notamment apercevoir sur leurs combinaisons : l’orange, le bleu et le violet. Dès l’épisode 1 de Cat’s Eyes, les trois sœurs mettent la main sur un kakemono japonais, sur lequel Tam aurait dessiné une patte de chat pendant son enfance. Le média Beaux Arts nous apprend qu’il s’agit véritablement d’une peinture sur soie, réalisée vers 1830 par Taguchi Fujinaga, un ancien élève d’Hokusai (créateur de la fameuse Grande Vague de Kanagawa). Cette Belle Gidayuu avec un chat est désormais conservée dans les collections de l’École nationale des beaux-arts de Paris, depuis 1907. Le site des Beaux Arts souligne également que le tableau nommé Jeune Fille et son chien, dérobé par Sylia et Tamara dans l’épisode 2, est une véritable peinture de Jean-Honoré Fragonard, imaginée en 1770 et conservée à la Alte Pinakothek de Munich. Pour mieux comprendre toutes les petites références artistiques cachées dans Cat’s Eyes, nous vous conseillons vivement de lire l’intégralité de l’excellent article concocté par Beaux Arts, en attendant de découvrir le grand final de la saison 1, le 9 décembre 2024 sur TF1.
Baltimore dans les années 1960. Un meurtre non élucidé pousse la mère de famille, Maddie Schwartz, à se réinventer en tant que journaliste d'investigation. Elle va alors croiser la route de Cleo Sherwood, une afro-américaine qui tente de faire avancer les droits des Noirs de Baltimore.
Dans cet épisode conclusif, Marie Treibert rappelle que la 6e extinction est un fait et qu'elle va bon train... et ce que l'on peut envisager pour arranger les choses. Le podcast Numerama dédié à la sixième extinction de masse. Six épisodes pour mieux comprendre les menaces qui pèsent sur le vivant, mais avec de l'espoir. Cette série audio prend la forme d'un conte de vulgarisation scientifique porté par Marie Treibert de la chaîne "La Boite à Curiosités". Écriture, voix : Marie Treibert Réalisation : Mathis Grosos Production : Marcus Dupont-Besnard Identité visuelle : Audrey Godefroy, Claire Braikeh Design additionnel : Thomas Ancelle Motion Design : Nino Barbey Rédactrice en chef : Marie Turcan Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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A l’instar des petits rats de l’opéra de Paris, les avocats de Sarreguemines ont dansé en tutu sur le Lac des Cygnes devant le palais de justice de Sarreguemines ce matin pour protester contre la réforme des retraites.