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Added on the 21/06/2023 11:08:52 - Copyright : Numerama
La marine américaine avait détecté un bruit caractéristique d’une implosion cinq jours avant l’officialisation de la perte du Titan. L’US Navy a transmis l’information, mais sans avoir la certitude que c’était la preuve de la perte du submersible. Le système utilisé, top secret, sert d’ordinaire à détecter les sous-marins ennemis. Il n’y a pas eu d’épilogue heureux pour le sous-marin privé Titan. Dans la journée du 22 juin, des débris de Titan ont été retrouvés à proximité de l’épave du Titanic, et leur étude a montré qu’ils correspondent au submersible. Celui-ci a de toute évidence implosé sous la pression colossale de l’eau, en raison d’une défaillance structurelle. Les cinq occupants qui se trouvaient à bord ont péri. titanic, sous-marin, sous marin, titanic wreck, oceangate, titan ocean gate, submarine, missing submarine, actualité, titanic submarine, coast guard, sous-marin titanic, sous-marin perdu, sous-marin titan, sous marin disparu, Titanic, épave titanic, sous marin titanic ,sous marin perdu, sous marin, sous marin disparu titanic, sous marin disapru, sous marin mort, victor 6000, victor 6000 robot, victor 6000 titanic
Une commission d’enquête des gardes-côtes tente de faire la lumière sur les circonstances de l’implosion du submersible Titan, survenue en juin 2023. La Garde côtière des États-Unis a diffusé les premières images de l’épave du sous-marin. Plus d’un an après la catastrophe du sous-marin Titan, qui avait implosé en partant explorer le Titanic, les premières images de l’épave ont été rendues publiques. La Garde côtière des États-Unis (USCG, pour United States Coast Guard), a publié plusieurs vidéos de ce qu’il reste du submersible d’Ocean Gate, avec un premier extrait diffusé sur X le 17 septembre 2024. Les 5 passagers qui avaient embarqué le 18 juin 2023 à bord du sous-marin Titan étaient tous décédés dans l’accident.
La perte du sous-marin Titan et de ses 5 passagers était survenue au mois de juin 2023. Alors que le submersible était parti explorer l’épave du Titanic, le contact avait été rompu à peine quelques heures après sa submersion. Rapidement, les scénarios avaient émergé pour comprendre ce qui avait pu mal tourner pour le Titan. Il avait finalement été confirmé que le sous-marin avait implosé et que l’engin n’était absolument pas en capacité de plonger si profondément. Lors des recherches, des « coups » avaient été entendus dans la zone où était censé se trouver le sous-marin. Rapidement, il s’était avéré que ces bruits étaient probablement un faux espoir. Plusieurs mois après l’accident, un enregistrement de ces sons est entendu pour la première fois. Ils sont diffusés ce mercredi 6 mars 2024 dans un documentaire de la chaîne nationale britannique Channel 5, « The Titan Sub Disaster: Minute by Minute », a repéré Le Parisien.
Iron Lung, un jeu vidéo d'horreur dans un sous-marin, voit ses ventes exploser à cause du Titan qui a disparu près de l'épave du Titanic. Le jeu vidéo Iron Lung, qui se déroule dans un sous-marin, connaît un regain d’intérêt en raison de l’expédition OceanGate, perdue près de l’épave du Titanic. Son créateur en vient à déplorer cette curiosité malsaine. « C’est tellement mal… », se lamente David Szymanski sur Twitter, devant la courbe des ventes de son jeu vidéo Iron Lung, disponible sur Steam. Depuis le 20 juin, il observe un regain d’intérêt lié à une expédition sous-marine privée, perdue près de l’épave du Titanic et qui a viré au drame. Pourquoi ? Tout simplement parce que Iron Lung enferme les joueuses et les joueurs dans un sous-marin, qui navigue au sein « d’un océan de sang d’une lune alien ». Il s’agit d’une expérience horrifique, qui joue sur la thalassophobie (phobie des profondeurs marines). Visiblement surpris de cette hausse des ventes, David Szymanski indique : « Je saisis l’humour noir qui entoure cette histoire du sous-marin près du Titanic, mais… j’ai développé Iron Lung pour en faire l’expérience la plus cauchemardesque possible, et savoir que des gens sont dans cette situation me terrifie, même si c’est leur décision. Les blagues que je vois sont hilarantes, mais personne ne mérite de mourir ainsi. » Iron Lung est sorti en mars 2022.
Des chercheurs de l’Institut néerlandais de neurosciences et de l’Université de Lausanne ont découvert que le cerveau avait un pattern assez spécifique pour se sortir du sommeil. Ils l’ont décrit dans une étude publiée le 16 juillet 2025 dans la revue Current Biology. Ce nouveau modèle pourrait permettre d’aider et d’améliorer la recherche concernant les troubles du sommeil. Pour étudier ce phénomène, les chercheurs ont posé 256 électrodes sur la tête d’une vingtaine de participants et ont analysé, au total, l’activité électrique cérébrale dans plus de 1 000 passages du sommeil au réveil. Les résultats révèlent un pattern, un schéma qui se reproduit à chaque nouvel éveil. Ce schéma diffère en fonction du type de sommeil (profond ou paradoxal) dans lequel nous nous trouvons. Une caractéristique demeure constante cependant, la vague de sommeil part de l’avant du cerveau (des zones centrales et frontales) et se propage vers l’arrière. Aurélie Stephan, première autrice de l’article, détaille les résultats dans un communiqué de presse : « Cette progression reflète probablement la façon dont les signaux des centres d’excitation sous-corticaux (plus profonds dans le cerveau) atteignent le cortex, avec des chemins plus courts vers les zones frontales et des chemins plus longs vers les régions plus en arrière. » Le sommeil est constitué de différentes phases. Entre autres, celle du sommeil paradoxal (appelé REM et associé aux rêves) et celle du sommeil profond, désigné comme le sommeil non paradoxal (ou non-REM), dans l’étude. Les chercheurs ont distingué deux patterns différents en fonction du type de sommeil dont les participants s’éveillaient. Dans le cas du sommeil non paradoxal, le réveil commençait par des ondes électriques lentes progressives qui, ensuite, se poursuivaient par des ondes électriques rapides. « Dans le sommeil non paradoxal, les neurones qui relient les centres d’excitation au cortex alternent entre les états d’activité et de silence – une dynamique connue sous le nom de ‘bistabilité’. En raison de cette bistabilité, tout stimulus excitant déclenche d’abord une onde lente, avant de passer à une activité plus rapide », détaille Aurélie Stephan. Et pour ne rien simplifier, il existe différents types d’ondes lentes durant le sommeil non paradoxal. Certaines d’entre elles sont destinées à être des signaux d’éveil et donc, d’excitation, tandis que d’autres contribuent à nous maintenir endormis. Ces ondes-là peuvent être présentes avant ou après le réveil, et ce sont elles expliquent pourquoi nous pouvons être somnolents en début de journée. L’autrice poursuit : « En revanche, le sommeil paradoxal n’a pas ce modèle bistable, de sorte que le cortex réagit immédiatement à l’activité rapide, semblable à un réveil. » Dans la phase de sommeil REM, le cerveau émet donc directement des ondes électriques rapides, sans passer par le stade des ondes lentes. Le cerveau se réveille alors plus rapidement, mais laisse la personne avec une sensation de somnolence. « Cette étude offre une nouvelle perspective sur le parcours du cerveau du sommeil à l’éveil, offrant une fenêtre sur l’une des transitions les plus fondamentales de la conscience humaine », conclut la chercheuse. Elle espère que ses recherches permettront des avancées pour les personnes atteintes de troubles du sommeil.