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Added on the 24/12/2024 11:30:25 - Copyright : Numerama
Le nouvel iPhone 17 Pro Max est-il enfin le vrai « Pro » qu’on attendait ? Batterie record, zoom x8 impressionnant, écran anti-reflets, nouveau design en aluminium et surtout un système de refroidissement inédit : Apple semble enfin corriger les erreurs des iPhone 15 Pro et 16 Pro. Après une semaine avec l’appareil, nous vous proposons en avant-première un des premiers tests complets de l’iPhone 17 Pro Max en français. Au programme : le refroidissement comparé à la caméra thermique, des mesures d’autonomie et de recharge, plus de 600 photos prises avec les différentes focales, la puce A19 Pro… Les réponses à toutes vos questions sur l’iPhone 17 Pro et l’iPhone 17 Pro Max sont sur Numerama (et, promis, les tests des iPhone Air et iPhone 17 arrivent !)
Deux études, américaine et japonaise, ont découvert pourquoi certains chats sont de couleur orange. Ces études, pas encore revues par des pairs et mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024, arrivent à la même conclusion qui implique la surexpression d’un gène. Boules de poils à la teinte de feu, chaotiques, mais affectueux, le mystère de la teinte des chats roux vient d’être percé. Sans se concerter, deux équipes de chercheurs, l’une américaine supervisée par Gregory Barsh de l’Université de Standford et l’autre japonaise, supervisée par Hiroyuki Sasaki de l’Université Kyushu, sont arrivées à la même conclusion concernant l’explication de la couleur orange de certains chats. Les études, non revues par les pairs pour le moment, ont été mises en ligne à la fin du mois de novembre 2024 sur le serveur bioRXiv. Un gène surexprimé chez les chats roux Les études démontrent que dans les cellules de peau (appelées mélanocytes) d’où poussent des poils orange, il y a une expression trop importante du gène Arghgap36. Les chercheurs ont d’abord émis l’hypothèse d’une mutation dans la section codante de l’ADN (la partie qui aboutira à la formation d’une protéine). Cependant, ils ont finalement réalisé qu’il manquait simplement une petite partie d’ADN non-codant (qui n’a donc pas de rôle dans la formation de la protéine finale). Cette partie manquante jouerait, par contre, un rôle dans la régulation de l’expression du gène Arhgap36. Hiroyuki Sasaki explique dans son étude : « La région supprimée contient un élément régulateur putatif hautement conservé, dont la suppression provoque probablement une altération de l’expression d’ARHGAP36 ». Dans la revue Science, Gregory Barsh, auteur de l’étude américaine de l’Université de Standford, explique en parlant du gène Arhgap36 : « Il est impliqué dans de nombreux aspects du développement embryonnaire et des mutations majeures affectant sa fonction dans tout le corps tueraient probablement l’animal. Il semble que chez les chats, cela est présent juste dans les mélanocytes ». L’implication du chromosome X Ce gène, responsable de la couleur rousse des chats, se localise sur le chromosome X. Chez les mâles, il sera donc forcément exprimé dans toutes les cellules, puisqu’il est seul. C’est ce qui explique que les mâles sont entièrement roux. En revanche, puisque les femelles possèdent 2 chromosomes X dans chaque cellule, il y en a toujours un des deux qui est inactivé. Les gènes situés sur ce chromosome X inactivé ne seront donc pas exprimés dans cette cellule. Et c’est pourquoi les femelles ont le plus souvent un pelage plutôt en patchwork, mélangeant le roux et le brun ou le noir. Ces recherches permettent de mieux comprendre des phénomènes génétiques, et de saisir la complexité des interactions entre les gènes pour améliorer les recherches à venir. Leslie Lyons, généticienne féline à l’Université du Missouri, déclare au magazine Science : « Les recherches sur la couleur des chats ont révélé toutes sortes de phénomènes, y compris la façon dont l’environnement influence l’expression des gènes. Tout ce que vous devez savoir sur la génétique, vous pouvez l’apprendre de votre chat. » Une belle conclusion qui nous confirme donc que nous, humains, avons tout à apprendre de nos souverains, les chats.
Sur le papier, la Pixel Watch 2 de Google n’est pas parfaite. Ses bordures d’écran sont un peu trop épaisses, l’absence d’un grand format la rend incompatible avec certains poignets et la gestion des données sportives/médicales, qui se synchronisent avec l’application Fitbit, en font un produit moins réussi qu’une Apple Watch Series 9, par exemple. Pourtant, pour la première fois depuis une décennie, un constructeur Android a réussi à concevoir une montre connectée vraiment charmante. De quoi facilement fermer les yeux sur ces défauts. À 399 euros, la nouvelle Pixel Watch 2 est un objet connecté d’une qualité rare. Très mignonne, réactive, suffisamment endurante pour dépasser une journée d’utilisation et parfaitement intégrée à l’univers Android, elle permet à Google d’enfin honorer sa mission sur le marché des montres connectées, après un premier essai pas loin d’être désastreux. Il est rare qu’un constructeur se rattrape aussi bien après avoir raté son premier modèle, on ne peut donc qu’applaudir Google pour sa prouesse.
Princesse Peach fait du Kung-Fu dans ce nouveau jeu ! Nintendo vient d’annoncer Princess Peach Showtime, qui sortira sur Switch le 22 Mars 2024. Ce n'est pas la première fois qu'on incarnera Peach dans un jeu, il y a avait déjà eu Super Princess Peach sur DS, dans lequel elle changeait de pouvoir selon ses émotions ! Cette fois-ci on incarnera la princesse qui doit se battre dans des décors en papier mâché sur une scène de théâtre ! On sait pour l’instant peu de choses du scénario du jeu, mais on sait qu’il incorporera de la plateforme, des combats et des énigmes, ainsi que de nombreux costumes lui offrant de nouveaux pouvoirs. La princesse pourra se transformer et changer de costume, en devant par exemple une mousquetaire capable de se battre à l’épée, une détective, enquêtant dans un musée, ou encore une pâtissière, cuisinant des gâteaux.
Comment maîtriser Perplexity en cinq astuces ? 1. Installer les applications. Perplexity fonctionne sur tous les navigateurs, mais en installant les apps sur votre smartphone ou votre ordinateur, vous accédez à des fonctionnalités bien plus pratiques au quotidien. 2. Personnaliser les sources. Même sans compte, vous pouvez ajuster les sources en cliquant sur le petit pictogramme dédié. Vous avez alors le choix entre le web traditionnel, les sources universitaires ou les sources sociales. Les sources académiques sont idéales pour des recherches scientifiques, car Perplexity ira uniquement dans des publications spécialisées. Si au contraire vous cherchez des opinions ou des synthèses issues de discussions entre internautes, l’option sociale est faite pour vous : l’outil explorera exclusivement les forums, Reddit ou encore les réseaux sociaux. 3. Créer un compte gratuit. En quelques secondes, vous débloquez des options essentielles. Avec un compte gratuit, vous bénéficiez de trois recherches Pro par jour : plus longues, plus riches en sources et donc plus précises. Vous accédez aussi à la géolocalisation, utile pour des recherches liées à votre position. À l’inverse, vous pouvez activer le mode incognito pour supprimer toute influence de votre localisation ou de votre historique, et empêcher l’enregistrement de vos recherches. Enfin, les espaces deviennent disponibles : ils permettent de configurer des pré-prompts personnalisés pour optimiser vos requêtes. 4. Utiliser les espaces. Ces espaces servent à créer de petits “robots” adaptés à vos besoins. Il suffit d’entrer un thème et un prompt précis. Par exemple : “Tu es une agence de voyage qui propose 25 % d’activités culturelles et 75 % d’activités outdoor pour des clients sportifs. Quand je saisis une destination, propose-moi un programme dans ces proportions dans un rayon de 15 km.” Ensuite, vous n’aurez plus qu’à entrer une ville et Perplexity générera l’itinéraire. Vous pouvez même ajouter des fichiers à vos espaces pour enrichir et personnaliser encore davantage vos prompts. 5. Obtenir Perplexity Pro gratuitement (ou presque). Perplexity Pro lève toutes les limites quotidiennes et ajoute des options avancées, mais son prix est élevé : 22 € par mois ou 229 € par an. En France, il existe toutefois deux solutions plus avantageuses : • Bouygues Télécom inclut Perplexity Pro dans certains abonnements box et mobiles. • Revolut propose Perplexity Pro dans son offre Metal à 16,99 € par mois. En plus, cet abonnement inclut une carte bancaire premium et jusqu’à 2 600 € d’abonnements par an (Perplexity Pro, NordVPN, Uber One, etc.). Autrement dit, pour moins cher que Perplexity Pro seul, vous accédez à une multitude de services supplémentaires.