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Added on the 20/05/2011 23:57:15 - Copyright : Le Républicain Lorrain
A la fin du concert de Stephan Eicher et du Traktorkestra, surprise : les musiciens et le chanteur sont descendus continuer de jouer au milieu du public. Nous y étions. Vidéo Est républicain
Depuis le mois de février, de Paris à Luxembourg, de Zurich à Amnéville en passant par Nancy, c'est elle la chef d'orchestre. Claire Twardy, née à Thionville il y a vingt-huit ans, est non seulement la responsable du merchandising mais également celle qui anime le blog de la tournée de Stephan Eicher (www.stephaneicher.com/blog). Elle était évidemment à la baguette, jeudi soir, à l'occasion du spectacle que l'artiste donnait à guichets fermés au Seven Casino. "C'est, au départ, l'idée de Stephan de proposer un autre regard sur le concert" explique cette ancienne étudiante en Droit, spécialisée notamment dans la propriété intellectuelle. "Il me propose de mettre en lumière, sur chaque date, les coulisses du show et de partager, avec le plus grand nombre, ce que le public ne peut habituellement pas découvrir". La carte blanche du complice de Philippe Djian à l'ancienne élève du lycée Charlemagne de Thionville ouvre ainsi une fenêtre rare dans la vie d'un musicien sur les routes, entre confidences et anecdotes.
Il avait donné à Rombas, en mai 2011, son ultime concert littéraire avec son double Philippe Djian. Avec L’Envolée , Stephan Eicher, indigné et engagé, attaque le chapitre le plus politique de sa carrière. Mots contre maux. Pour son dernier album, l'artiste s’est écrit une « loi musicale » avec plusieurs commandements. Dont celui de n’enregistrer que « des chansons courtes ». C’est précisément ce défi que nous avons choisi de relever : ne le faire réagir, pour cet entretien d’une vingtaine de minutes à écouter dans sa version intégrale sur notre site, que sur des mots. Ou des chiffres… Découvrez ses belles envolées à propos de la Camargue où il vit, de la Lorraine, d’Édith Fambuena (guitariste et productrice), des hôtels, de la promotion ou du… café. Pourquoi, enfin, il n’a pas retenu certains titres écrits sur scène lors de sa précédente tournée avec Philippe Djian. A écouter avant son concert, le 3 avril à L’Autre Canal à Nancy, le lendemain à L’Atelier à Luxembourg et le jeudi 2 mai au Seven Casino d’Amnéville. (http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/04/03/stephan-eicher-solde-la-crise-avec-ses-jolis-contes-suisses)
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