Description
Added on the 05/03/2025 17:54:24 - Copyright : Numerama
Vous avez un lapin, une poule ou un cochon d’Inde en bonne santé que vous ne voulez plus ? Un zoo au Danemark vous propose de le récupérer pour nourrir ses prédateurs. Le zoo d’Aalborg accepte les dons d’animaux vivants – même des chevaux – pour nourrir lions, tigres ou lynx. Les petits animaux sont ensuite euthanasiés « en douceur » par du personnel formé. Selon le zoo, ces animaux font partie du régime naturel des carnivores, avec os, poils et tout le reste. Ils disent vouloir reproduire la chaîne alimentaire, comme dans la nature. Sur son site internet, sous une photo d’un tigre dévorant un morceau de viande, le zoo d’Aalborg détaille les conditions pour faire don d’un cheval. Pour être éligibles, les chevaux doivent posséder un passeport équin et ne pas avoir été traités pour une maladie au cours des 30 derniers jours. Et en bonus, vous pourriez obtenir une déduction fiscale. Banco. C’est une pratique assez courante au Danemark. Le zoo précise qu’il le fait depuis des années, et que certains visiteurs trouvent ça appréciable de pouvoir contribuer aux repas des prédateurs du zoo. Évidemment, ce procédé soulève un débat : est-ce une manière écologique de nourrir les animaux ou juste une pratique dérangeante et immorale
On explore un Nintendo Store à Taïwan ! S'il est plus petit que les boutiques de New York ou San Francisco, on y trouve des peluches de tous les univers Nintendo à profusion : Mario, Animal Crossing, Splatoon... De quoi se ruiner très facilement !
Cette étude vient ajouter une nouvelle pierre à l’idée que l’instinct de sauvetage, ou la volonté de sauver d’autres individus de la même espèce, est inné chez les mammifères. Les souris semblent en effet capables de déployer de « premiers soins » à une autre souris inconsciente. Sauver les siens n’est pas une attitude qui n’appartient qu’aux êtres humains, loin de là. Dans des travaux publiés le 21 février 2025, des scientifiques montrent comment les souris cherchent à réanimer d’autres souris inconscientes, en procurant ce qui s’apparente à des « premiers soins ». La vidéo prise par l’équipe de recherche, et publiée par le New Scientist, est fascinante. Mais qu’y observe-t-on vraiment ? « Elles commencent par renifler, puis par toiletter et enfin par une interaction physique très intensive », explique Li Zhang, principal auteur du papier de recherche. Cette interaction consiste à lécher les yeux, puis à ouvrir la bouche de l’autre souris et même à lui tirer la langue. Ce, afin de libérer le passage de l’air. Dans l’un des tests, les auteurs ont placé une balle en plastique — non létale — dans la bouche de la souris inconsciente. Résultat ? L’autre souris a retiré cette balle dans 80 % des cas ; et les chercheurs relèvent que, s’ils avaient laissé plus de temps aux souris, ce chiffre aurait pu augmenter. Les souris savaient également bien faire la distinction entre un pair inconscient et un pair simplement endormi ; en revanche, elles tentaient aussi le sauvetage sur des pairs décédés. L’ocytocine : un instinct « aidant » chez tous les vertébrés ? Cette observation étant accompagnée d’une étude neurobiologique du comportement de ces souris, les scientifiques ont pu déterminer que ces « premiers soins » sont reliés à deux régions du cerveau et à la libération d’une hormone spécifique, l’ocytocine. Celle-ci est naturellement présente chez les mammifères — et une grande part des vertébrés. Elle est parfois décrite comme l’« hormone de l’amour » ou « hormone de l’attachement », car elle joue un rôle clé dans les comportements sociaux de lien. De fait, les auteurs relèvent dans leurs conclusions que les réactions d’urgence visant à réanimer des pairs inconscients sont certainement « un comportement inné largement présent chez les animaux sociaux ». Ce comportement joue lui-même « probablement un rôle dans l’amélioration de la cohésion et de la survie du groupe ». Et en effet, cette attitude qui consiste à essayer de sauver un autre individu a été identifiée par exemple chez les éléphants, les chimpanzés, les dauphins.
On a visité le Nintendo World Store à New York, un magasin de près de 1 000 m² avec démonstrations de jeux interactives, accessoires, costumes et objets de collection !
Si la cruauté envers les animaux était une discipline olympique, LVMH (principal sponsor des JO de Paris 2024 et maison mère de Louis Vuitton, Dior et Fendi) remporterait la médaille d’or pour sa vente de peaux de crocodiles, de serpents, d’autruches et d’autres animaux sauvages violemment abattus. Voilà le message que PETA a fait parvenir à Bernard Arnault dans une lettre accompagnant un cadeau un peu particulier fait au PDG : sa propre version de la médaille Olympique, ressemblant à quelques détails près à l’originale créée par Chaumet, maison appartenant à LVMH. Celle-ci représente Bernard Arnault lui-même, se tenant sur le cadavre ensanglanté d’un crocodile, brandissant une hache d’une main et un sac Louis Vuitton en peau de crocodile de l’autre et accompagné du texte « LVMH | CHAMPION DE LA CRUAUTÉ ENVERS LES ANIMAUX | PARIS 2024 ». Sur le versant de la médaille on peut lire « LES JEUX OLYMPIQUES : SPONSORISÉS PAR LA VIOLENCE ». Le pastiche reflète les souffrances et le massacre que soutient LVMH en continuant à faire usage de peaux « exotiques ». Une enquête de PETA Asie sur des élevages de crocodiles au Vietnam qui fournissaient des peaux à LVMH a révélé que des milliers de reptiles étaient confinés dans des fosses en béton sales et exiguës (certaines plus étroites que la longueur de leur propre corps) pendant 15 mois avant d’être abattus. Les entités PETA ont également rendu compte de la manière dont l’industrie de la mode tranche le cou des crocodiles et enfonce des tiges en métal dans leur colonne vertébrale, décapite des lézards encore conscients à la machette et étourdit électriquement des autruches avant de les égorger devant leurs congénères terrifiées. Le financement par LVMH de la torture et de la mort de crocodiles et d’autres animaux éloigne le groupe des valeurs olympiques d’amitié, de respect et d’excellence. Si l’entreprise veut se montrer digne de son rôle et de son prétendu « esprit d’innovation exceptionnel », elle doit urgemment abandonner les peaux d’animaux sauvages pour privilégier des matières véganes durables et éthiques, comme l’ont déjà fait d’autres maisons de haute couture comme Mulberry, Victoria Beckham, Chanel, Burberry, Diane von Furstenberg et Vivienne Westwood.