Description
Added on the 14/04/2025 17:58:52 - Copyright : Numerama
Katy Perry est montée à bord d'une fusée Blue Origin avec un équipage 100% féminin pour un court voyage d'une dizaine de minutes dans l'espace. La chanteuse avait embarqué avec elle une marguerite, « Daisy » en anglais, prénom que porte que sa fille. Rappelons que ce voyage n'a aucun but scientifique, il s’agit d’une mission touristique. Et, bien que ce crew soit chanceux de vivre une expérience pareille, n’oublions pas que chaque passagère a payé sa place. Le prix reste secret, mais on peut au moins compter un acompte de 150 000 dollars. En 2021, le premier passager d'un vol New Shepard avait déboursé 28 millions de dollars, et récemment d'autres passagers ont payé jusqu'à 1 million de dollars pour vivre cette expérience unique. L’impact environnemental de ces vols est également très critiqué.
Une fausse photo de Katy Perry a généré plus de 13 millions de vues sur la plateforme X. Même la mère de la chanteuse est tombée dans le panneau. Cette robe n’existe pas, Katy Perry n’assistait même pas au grand Gala annuel caritatif, qui réunit les stars les plus en vogue. « Attention ! », répond l’artiste à sa mère. « Tu t’es faite avoir par l’IA ! ».
Une fausse photo de Katy Perry a généré plus de 13 millions de vues sur la plateforme X. Même la mère de la chanteuse est tombée dans le panneau. Cette robe n’existe pas, Katy Perry n’assistait même pas au grand Gala annuel caritatif, qui réunit les stars les plus en vogue. « Attention ! », répond l’artiste à sa mère. « Tu t’es faite avoir par l’IA ! ».
D’où vient cette histoire de faire un vœu après avoir vu une étoile filante ? En ce moment, ce sont les Perséides : ce bel essaim d’étoiles filantes est visible en août. Ce spectacle est très apprécié des spécialistes comme des amateurs d’astronomie. Si vous n’avez jamais observé d’étoiles filantes, c’est l’occasion idéale pour commencer. Pour voir les Perséides lors de leur pic d’activité, l’observation peut avoir lieu le 12 août, dans la soirée. « C’est un bel essaim. À cette époque de l’année, les vacances sont une bonne occasion de l’observer », nous explique Florent Deleflie, astronome à l’Observatoire de Paris. Pour voir ces étoiles filantes, il faut privilégier un lieu le moins éclairé possible. Par contre, ce n’est pas un problème si l’horizon n’est pas bien dégagé : « la constellation de Persée, dont semblent émaner les Perséides, est élevée dans le ciel. Même en montagne, on peut les voir », poursuit le spécialiste. Pour trouver le radiant, cet endroit d’où semblent partir toutes les étoiles filantes, il faut d’abord situer la constellation de Persée. « En début de nuit, regardez en bas du W formé par la constellation de Cassiopée. Le radiant se trouve dans le prolongement d’une ligne imaginaire entre le W de Cassiopée et la direction du nord », indique Florent Deleflie. Vers 2h du matin, le radiant se sera déplacé en dessous du W formé par Cassiopée.
Les Russes ont envoyé une véritable arche de Noé dans l’espace. C’est en tout cas le surnom attribué à la mission spatiale Bion-M n°2. Et ce n’est pas étonnant lorsqu’on se penche sur son équipage un peu particulier : 75 souris, 1 500 mouches, des algues, des graines, des microbes et d’autres organismes vivants ont été placés en orbite pendant 30 jours dans une capsule spatiale. L’objectif était d’étudier comment tous ces colocataires réagissent à la radiation, à la gravité et aux rayonnements cosmiques, aussi bien d’un point de vue biologique que reproductif. Saviez-vous que la vie sur Terre pourrait avoir une origine extraterrestre ? C’est en tout cas l’hypothèse que cette expérience tente d’explorer, une théorie connue sous le nom de panspermie. Ce “zoo spatial” devait également permettre d’étudier si des micro-organismes transportés par un astéroïde ou une comète pourraient donner naissance à la vie sur d’autres planètes. Enfin, la mission visait aussi à ouvrir la voie à de futurs voyages humains de longue durée. Comme son nom l’indique, Bion-M n°2 avait un prédécesseur. Dans celui-ci, on retrouvait notamment des lézards, des gerbilles de Mongolie et même des escargots. De quoi se demander quels seront les prochains animaux à voyager dans l’espace.